La Kabbale dans le Traité des Chiffres

Cabale proprement reception verbale.

A quoy se conformerent du depuis les Pythagoriciens, et les Druydes, au tesmoignage de Cesar dans le 6. de ses Commentaires. Mais ces mysteres Cabalistiques procedoient de la loy escrite, et ne consistoient pas si absolument en une verbale tradition, que l’escriture n’en comprist la meilleure

part ; tant en la forme des caracteres, leurs points, accents, ordre, suitte, collocation, et assiette ; qu’en la transmutation, commutation, et accouplemens de lettres, ce que les Hebrieux appellent Ethbas, Tmurah, et Ziruph ; le Notariacon aussi, les equivalences de nombres, et la Ghematrie ; ensemble tels

autres artifices et observations, dont entre tous a escrit plantureusement un Juif Espagnol appellé Rabbi Joseph Cicatilia de la ville de Salamanque, trois gros livres intitulez [H] ghinat egoz, le jardin du noyer ; le premier traictant des dictions, le second des lettres, et le troisiesme des points et accents ; à l’imitation dequoy sont bastis la plus part de noz chiffremens : Mais ceux des Hebrieux sont tous remplis אדני ; et l’autre assavoir la prolation (daberah) comme quand on trouve en l’escriture [H] medhaber, il a parlé, (Dieu faut entendre) signifie la loy escrite, denotee par le sacre-sainct tetragrammaton יהוה : Au demeurant, que la loy escrite comme plus spirituelle et mysterieuse, est expliquée par la loy donnee de bouche, qui est le temple et tabernacle de la loy escrite, tout ainsi que ADONAI l’est de l’ineffable Quadrilettre : et comme il n’y aye point d’autre accez pour arriver à ce sacré nom que souz la conduite et addresse de celuy d’ ADONAI, lequel puise toutes

Chiffres non seulement d’escriture, mais de paroles, et de gestes. AU SURPLUS SURPSUS il y a des chiffres de certains langages forgez à plaisir, aussi bien que de l’escriture, ainsi que le jargon des Gueuz et Bohemiens, et autres semblables ; dont j’ay veu autrefois un gros dictionaire imprimé à Venize, si ample et complect, qu’il n’y a rien quelconque qui ne s’y peust dire et escrire, bien plus distinctement qu’en Genevois, Breton bretonnant, ou en Basque ; ny paraventure qu’en Escossois. Il y a outreplus des chiffres qui qui qui sont comme moiens entre la parole et l’escriture, d’autant, qu’ils sont muets comme elle : et quant et quant ny plus ny moins que la parole attachez et joincts avec la personne ; qui s’en exprime par gestes de doigts, mines et guignemens des yeux, levres, etc. comme nous avons touché cy dessus : tellement qu’ils sont presque d’infinies sortes, à guise des notes et abbreviations Ciceroniennes ; car

Mais la pluspart de ceux dont j’ay veu user és cours des princes, consistent seulement en une multiplication de caracteres faicts à plaisir ; estimans que pour estre bizarres, incogneuz, et en grand nombre, le sens qui y est contenu ne pourra estre descouvert sans la communication de l’alphabet ; car les voyelles, par ce qu’elles sont plus frequentes que les autres lettres, y sont triplees et quadruplees voire plus ; et le reste à l’equipolent ; avec des doubles, des nulles, et tout plein de notes à part, qui designent chacune un mot ; comme Empereur, Roy, armes, vivres, Galleres, et autres semblables : Nonobstant tout celà neaumoins l’industrieuse et vive conjecture des hommes ne laisse d’en venir à bout, et penetrer dans le secret ; bien qu’avec un travail extreme d’esprit, et un rompement inestimable de teste. Car je me resouviens d’avoir veu en mes jeunes ans, estant nourry nuorry avec le general Bayard, premier secretaire d’estat du grand Roy François, feu monsieur de la Bourdaiziere ayeul de ceux qui vivent pour le jourd’huy, avoir souvente-fois dechiffré, sans l’alphabet faut-il entendre, plusieurs depesches intercettes, en Espagnol, Italian, Allemand, ores qu’il n’y entendist rien, ou bien peu, avec une patience

Chiffres plus exquis que ceux dont on use és cours des Princes.

Et pourtant, laissant là toutes ces forests inutiles de caracteres multipliez sans propos, j’en ameneray icy de plus rares et plus subtils ; et dont il est non que malaisé, mais impossible d’en venir à bout, quand bien mesme l’on en auroit mille et mille fois l’alphabet : lequel outre-plus ne se peult jamais perdre ny esgarer, qu’il ne demeure tousjours empraint en vostre memoire, pour le redresser en tous lieux par coeur, et à toutes heures que vou-vous en voudrez servir ; sans qu’il soit besoin de le charier autrement avec vous, qu’en vostre pensee ; ne qu’il puisse estre communiqué à personne, qui s’en peust servir sans vostre cointelligence et consentement. Car un mesme alphabet peult servir à tous les vivants de la terre, et en tous langages, qui pour cela ne pourront rien comprendre ny desvelopper des intentions les uns des autres, s’ils ne s’entr’entendent : Toutes choses qui de primeface sembleroient non moins estranges et incroyables que les promesses de l’Abbé Tritheme ; et neantmoins apres en avoir sceu l’artifice, ce n’est par maniere de dire que jeu. Car tout gist és clefs, qui se peuvent infiniment

PREMIEREMENT donques je mettray le chiffre, que j’attribue quant à moy à un certain Belasio de la suitte du Cardinal de Carpi, pour avoir esté le premier de tous ceux dont j’ay eu cognoissance, qui le practiqua et mit en avant l’an 1549. que je fuz à Rome la premiere fois : Car le livre cy devant allegué

OR en tous ces changemens et transpositions de lettres communes, il ne se trouve point de sens en appert avant que d’en lever le masque, c’est à dire les remettre en leur deuë assiette suitte et valeur, nomplus qu’en des caracteres faits à plaisir ; mais on les prend pour estre plus en main, et aisees à figurer : Trop bien seroit-ce le meilleur qu’il y en eust, pour oster toute soupçon de chiffre, qui est le souverain but de cest artifice, auquel plusieurs ont aspiré, la plus-part d’iceux sans effect, comme il se dira vers la fin. Tous les chiffres Hebraïques ont double sens, l’un appert et l’autre caché.

Mais ce n’est pas ainsi des chiffres Hebrieux, qui jamais ne sortent de leurs caracteres ; et si il y a tousjours quelque sens de grand mystere et importance ; pour raison qu’ils tiennent leurdits caracteres estre divins, et formez de la propre main de Dieu mesme ; Scriptura quoque Dei erat sculpta in tabulis, en Exode 32. Et ce avant la creation du monde, comme met Rabbi Moyse Egyptien au 65. cha. du premier livre de son directeur, apres le Talmud au livre de Pesah seni pasque seconde ; esquels caracteres il n’y a rien de frivole ny d’oisif, et sans quelque occulte signifiance en leurs figures, assemblemens, separations, tortuositez, directions, defaillances, surcrez, grandeur, petitesse, conformité de similitude, tiltres, accents, coronemens, cloison, ouverture, suitte, valeur, et disposition. Et pource que les Hebrieux n’ont point particulierement de voyelles

Les Juifs de tout temps un peuple fort particulier.

Aussi sont-ils tous carrez et sans aucunes de ces liaisons telles qu’on voit en l’escriture Syriaque, et en l’Arabesque, fort gentilles et de plaisant aspect, pour monstrer que ceste langue, ny l’escriture, ny le peuple, n’ont jamais rien eu de commun avec les autres nations, ains sont tousjours demeurez à par-eux, comme une chose separee du reste de la generation des hommes. La loy au surplus, à propos de ceste escriture, que Dieu donna à Moyse és deux tables susdites, estoit escrite toût d’une teneur, sans aucune separation de syllabes, ne de dictions ; et persees à jour de costé et d’autre ; Merveilleuse escriture des dix commandemens de la loy.

Si que chacun, à ce que disent les Rabbins, y lisoit diversement à sa fantasie, à la main droicte, et à la gauche, par le devant, et à l’envers ; du hault en bas, du bas en hault ; Moyse s’en retenant devers luy la vraye intelligence occulte, selon que Dieu la luy avoit revelee ; dont le secret consistoit, partie en la forme des caracteres, partie en la vraye et propre distinction des vocables : Ce qui ne se trouve pas de la sorte és autres langues et escritures, parquoy ces mysteres ne s’y peuvent representer bonnement ; bien qu’elles en soient pas du tout

Trois choses requises és prieres qu’on fait à Dieu.

Toutes-fois le Zohar adjouste que trois choses sont requises pour obtenir l’effect et benediction de noz prieres ; assavoir la pensee, l’intention, et la parole ; la pensee, par ce que l’oraison ne doit estre inconsiderément

O divine ame estant si estimee,

Qui te pourra loüer qu’en se taisant ?

Car la parole est tousjours supprimee ;

MAIS à quel propos ceste soubs digression encore de ce tant valeureux et magnagnime Prince ? afin de raviver tousjours en passant quelque estincelle de sa tres-heureuse recommendation et memoire ; pour avoir en ses jours restauré les arts, sciences et bonnes lettres, lors ensevelies de treslongue main ; et banny l’ignorance et la barbarie non tant seulement de son peuple, mais de toute la chrestienté aussi ;

— Quíque per artes

Fluctibus è tantis vitam, tantísque tenebris ;

In tam tranquilla, et tam clara luce locauit ;

comme dit le Poëte Lucrece : Et ce, entre autres choses, par l’introduction des lecteurs publiques ; l’une des plus grandes commoditez et secours que les estudes puissent avoir, voire comme une vraye pepiniere et seminaire des bonnes lettres : enquoy deux ou trois mille escus qu’il peut avoir employé tous les ans, durant la moitié seulement de son regne, car il en avoit des-ja bien commandé quinze, lors qu’il entreprit ce bon oeuvre, luy ont plus acquis d’honneur et de gloire, de louange, de graces, remerciemens, et de bien-vueillance engravée au fonds du coeur d’infinis excellens personnages, que cent millions de millions d’or, si autant s’en pouvoit recouvrer, qu’il eust peu despendre apres des guerres et conquestes plus memorables que celles d’Alexandre le grand, de Pompee, ny Julles Cesar : Plus que tous les insolents edifices des Roys d’Egypte ; ny que toutes

CE GRAND ROY donques fut le restaurateur et pere des lettres envers son peuple ; et comme un autre Apollon au milieu de la sacree trouppe des Muses sur le mont Heliconien. Mais j’en changeray icy la signifiance avec le propos ; et les prendray pour les caracteres de l’escriture Hebraique ; vingt deux en nombre, dont il y en a cinq de redoublez pour mettre à la fin des vocables, et par ce moien accomplir le nombre de vingt sept ; cube du sacré terneraire, ouquel Platon s’estudie de demonstrer dans son Timee, que le monde a esté creé ; comme tenant lieu du masle, de l’agent, et de la forme ; avec le huit, le cube d’autre part du binaire ou du deux, qui represente la femelle, le patient, et la matiere : Enquoy, comme en tout le reste de sa doctrine, il s’est conformé aux traditions Mosaiques, touchant mesme ce nombre de 27. car le semblable se trouve dans le livre de Jezirah, et celuy du Zohar bien au long ; où il est expressement dict, que le monde fut fabriqué par les 22. lettres de l’alphabet ; dont il y en a trois qui conviennent aux trois Elemens, ainsi que nous deduirons plus

Rapport des lettres de l’alphabet Hebraïque, aux choses creées.

Par les lettres donques sont representees toutes les parties des composez, et sont comme la matiere d’iceux : par les points, toutes les sortes des formes qui les vivifient : et par les accents, toutes les deues operations de la matiere et de la forme jointes ensemble à la constitution d’un corps, correspondantes à leurs principes celestes, et à leurs divines Idees : desquels trois viennent à estre produites non seulement les especes des choses, mais les individuz mesme d’icelles. Et ont esté les Cabalistes si speculatifs, paraventure trop curieux, entant que la conjecture de l’esprit humain s’est peu estendre, de penser par les divers assemblemens des lettres, atteindre à sçavoir le nombre des choses creées ; qui se pourroit bien supputer, mais nompas proferer, ny presque comprendre, fors de celuy qui sçait le compte des estoilles, et leur donne à toutes des noms ; des poils estans en nostre teste, et tout le reste de la personne ; des grains de sablon ; et goutes de pluye : Car de la diversité des Ziruphs, ou accouplemens, et suittes de lettres, sans aucun meslange de points, vient à resulter un nombre, qui est autant comme infiny pour nostre regard ; assavoir 112400259082719680000. Que si l’on y veut adjouster les points, le nombre ne se pourroit pas exprimer, ny concevoir presque de nous ; combien qu’Archimede en son traicté de l’Arene se soit ingeré de trouver une maniere de compter יהוה, qui representent les quatre Elemens : Et de là resulte finablement toute la diverse multitude des individus, causee de la varieté de ces premieres et secondes influxions et decoulemens en tout ce qui a esté produit et se produira jusques à la consommation du siecle : lesquelles influxions susdites sont representees envers les Hebrieux par les lettres de leur alphabet, qui contiennent toutes sortes de proportions numerales ; et à l’endroit des Pythagoriciens et Platoniciens par les nombres ; le tout neantmoins tendant à un mesme but et effect.

Distinction des nombres.

Mais il ne faut pas entendre ces nombres-là estre les vocaux ou vulgaires, dont nous comptons communément ; ny pour le regard des caracteres ou lettres, celles de l’escriture nomplus ; ains ce qui est representé par les nombres formels ou celestes, et les rationnels ou divins : Car rien ne se peut exprimer, ny de parole ny par escrit, qui n’aye Estre ; parce que de ce qui n’est point, il n’y a point aussi de mots : et pourtant tout caractere qui exprime, correspond à la chose qui en est exprimee ; et tout nombre pareillement à ce qui est nombré d’icelui, et aux choses qui sont distinguees

Considerations admirables touchant les lettres Hebraïques ; et l’escriture qui en est formee.

Poursuivant lequel nous disons, que ces 22 caracteres de lettres selon ce que dessus, sont les Idees de toutes les creatures formees, et à former : Car ainsi comme toutes choses se cognoissent par leur droite appellation, laquelle ne nous peult estre representee que par la parole ou l’escriture, dont la peinture et sculture avec tels autres arts qu’on appelle imitatrices, sont son comme une branche et dependance ; par consequent outre ce que l’escriture est plus spirituelle que la parole, et les mots escrits plus pregnans pour nous manifester l’essence de la chose qu’ils representent, que les proferez de vive voix, d’autant qu’on y insiste plus ; il y a tout plein de mysteres à considerer à loisir en la figure des caracteres, que les paroles qui passent viste comme une flesche bien empennee, dont Homere les auroit appellees épéa pléroénta, ne nous permettent pas d’observer si exactement ; et ne le pourrions en sorte quelconque sans le moien de l’Escriture ; si qu’il n’y a rien de plus propre pour demonstrer l’ordre de la composition des substances. Car tout ainsi que les שדי Sadai, car l’un et l’autre font 314. Les traditions desquels outre-plus portent, que l’escriture de Dieu est en la convexité exterieure de toute la machine du monde ; à quoy bat ce que veult dire Rabbi Ramban Gerundense ; Que par la Cabale il nous appert l’escriture avoir esté un feu obscur et caligineux, sur le doz d’un feu blanc et resplendissant à merveilles : Lequel feu obscur ou premier, assavoir l’obscurité de l’ancienne loy ; Moyse Egyptien au second livre se son directeur, chap. 31. appelle tenebres, suivant (dit-il) ce qui est contenu au Deuteronome 4. Il y avoit sur le mont Oreb des tenebres, nuees espoisses, et grande obscurité ; Et le

Seigneur parla à vous du milieu du feu : Resumant puisapres le mesme au 5. ensuivant ; Apres que vous avez oy sa voix du milieu des tenebres. Mais en Dieu les tenebres et la lumiere sont une mesme chose, comme le porte tout apertement le pseaume 139. Sicut tenebrae eius, ita et lumen eius ; ce qu’a voulu imiter Mahomet en la 65. Azoare de son Alchoran ; Vobis ignem clarum atque fumosum immittam : Et pour le regard du feu blanc et resplendissant, le mesme Rabbi fils de Maimon, met que le feu noir represente la terre ; le rouge l’eau ; le bleu l’air ; et le blanc, le ciel. Au surplus l’escriture des anges, dont nous parlerons plus-amplement cy apres, est par le dedans, au creux assavoir, et concavité du ciel ; à propos de ce qui est dit en l’Apocalypse chap. 5. Je vis en la main droicte de

LA TABLE des Ziruphs suivante (ce sont divers assemblemens de deux lettres, et les permutations qui peuvent estre de l’une en l’autre) est extraite du Jezirah, et par nous inseree icy, pour monstrer en premier lieu la grande antiquité des chiffres : En apres pour tousjours de plus en plus esclarcir ce que nous avons des-ja dit cy devant, que tous les artifices des chifres sont premierement venus des Hebrieux : faire veoir outreplus que la premiere et seconde table des 46. et 50. fueillets, quiconque en ayent esté les autheurs ; et les autres encore des chiffres doubles et carrez qui se traicteront en leur lieu, ont esté empruntees de ces tables icy des Ziruphs. Surquoy ceux qui seront soigneux d’un peu mediter à loisir, trouveront sans doubte plusieurs autres belles manieres d’escrire, que pour cause de briefveté nous laissons tout expres à leurs curieuses recherches, et dexterité d’esprit : car c’est la vraye racine et le fondement יהוה ; tiré de l’Ethbas, ou 22. et dernier alphabet des Ziruphs et commutations, comme vous pouvez voir icy, où le מ Mem est mis pour le י Jod ; צ Tsaddi pour ה He ; פּ Pe pour ו Vau ; et צ Tsaddi derechef pour ה He. Et est ce mot composé de Maz, qui au 5. et 6. ordre des conjugaisons des verbes Hebrieux, signifie, a Succé et esprint ; ce qui convient au Malchut, le Sephirot ou numeration de la Lune, qui reçoit toutes les impressions d’enhault, pour les pressurer et espreindre audessous ; et de Paz, qui en la premiere conjugaison veult autant à dire que s’escrier et chanter de joye ; selon

La Kabbale dans le Traité des Chiffres
La Kabbale dans le Traité des Chiffres

OUTREPLUS pour rendre la dessusdite table entiere et complecte, d’une nous en avons fait deux : dont ceste premiere suivante la represente : et l’autre d’apres est sa renversee : esquelles deux, selon la double dimension de la superfice en longueur et largeur, sont parfaictes et accomplies toutes les revolutions

MAIS il y a d’autres choses à considerer en ces caracteres que pour s’en servir en un simple usage de chiffres ; combien que ceux qui y voudront mediter un peu

CE CARRÉ donques est comparty en quatre autres moindres carrez tous egaux, par les deux lignes marquees de rouge s’entrecroisantes à angles droits à travers le centre ; et en autant de grands triangles egaux entr’eux, et aux carrez, par deux autres lignes.

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La Kabbale dans le Traité des Chiffres par Blaise de Vigenère. 

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