Traité des Palais de Zohar II

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Traité des Palais

Zohar II – folio 244a à 269a

Rabbi Siméon : Une tradition nous apprend que les palais célestes où se manifeste la gloire du Saint, béni soit-il, sont de deux sortes : Il y en a où domine la parole, et d’autres où domine l’intention…

Les palais supérieurs sont de la seconde catégorie, puisqu’ils ont pour objet de manifester la Gloire d’en haut, en haut, jusqu’à l’Infini où se trouve l’Essence de toutes les intentions et de toutes les pensées, mais où ne retentit aucune parole. Remarquez qu’il a été dit que ces palais sont disposés de telle sorte que les inférieurs sont enchaînés aux supérieurs. Remarquez que, lorsque Moïse pria pour Israël, il fit une longue prière, tandis que, pour sa soeur, il ne fit que cette courte prière : « Dieu, guéris-la », et pas plus. Comme Moïse était le maître de la maison et y commandait [245a] il n’avait pas besoin d’une longue prière ; deux paroles lui suffisaient. Le but de tous les palais célestes, c’est de conserver la Schekhina en ce bas monde. Rabbi Siméon se leva et dit : Heureux ton sort, Adam, l’élu de toutes les créatures du monde ; car le Saint, béni soit-il, t’a placé au-dessus de toutes les créatures, t’a introduit dans le paradis et t’a préparé sept dais pour te procurer les délices d’en-haut, ainsi qu’il est écrit : « … Pour voir les délices de Dieu et visiter son palais. » Les « délices de Dieu » désignent les sept palais d’en haut « Son palais » désigne les sept firmaments d’en bas. Ces sept dais supérieurs formaient une couronne autour de toi et tu te promenais dans le Jardin d’Éden d’en bas. Tu étais parfait jusqu’à ce que tu te sois laissé entraîner par le mauvais serpent, et tu fus chassé du Jardin d’Éden, et tu amenas la mort sur la terre. Tu as abandonné les délices célestes et tu t’es laissé entraîner par les passions honteuses qui sont appelées « venin de serpent ». Mais Abraham le pieux arriva et il perfectionna le monde et le fit entrer dans la Loi Sacrée, et il rétablit l’union entre les cieux d’en haut et les cieux d’en bas.

Le Premier Palais.

Le premier palais est le siège de la Foi ; c’est le commencement du mystère de la Foi. C’est par ce palais que le prophètes véridiques ont vu leurs visions comme dans une glace sans reflet. Tel est le sens des paroles : « Au commencement que le Seigneur parla à Osée… » Cela signifie que Dieu accorda à Osée le premier degré de la vision. Dans l’empire du démon, un palais semblable répond à celui que nous venons de citer. Qu’on se garde bien d’y pénétrer, car il souille tous ceux qui en approchent. Noé y entra et il s’enivra. La femme prostituée que Dieu recommanda à Osée désigne ce palais ; Dieu voulait qu’Osée pénétrât dans ce palais avant de monter dans le palais sacré correspondant à celui-ci. Un ange du nom de « Tahariel » se tient à la porte de ce palais sacré ; aussi bien lui-même que tous les autres chefs et les anges qui montent dans ce palais ressemblent à un feu, et ils tiennent dans leurs mains des gerbes de feu. Les chefs de ce palais sont appelés [245b] « Maîtres d’yeux ». Quand une âme est digne, elle pénètre dans ce palais ; sinon, elle est repoussée, et des millions de légions la saisissent et la jettent dans l’enfer où elle subit des punitions pendant douze mois. Le chef préposé à la porte de ce palais laisse également pénétrer les prières de la « Communauté ». Quant à la prière d’une personne seule, elle pénètre dans le palais si elle est faite de manière convenable ; sinon, elle est cueillie par un autre chef du nom de « Sahadiel » placé à un ciel inférieur. Celui-ci conserve la prière imparfaite. Si l’homme qui l’a faite fait pénitence, cette prière s’épure également et remonte tardivement jusqu’auprès du Roi Sacré. Mais si l’homme ne se convertit jamais, cette prière est jetée au démon. Au-dessus de cette porte du palais, il y en une autre gardée par le Saint, béni soit-il, lui-même. Elle est ouverte trois fois par jour et sert aux larmes des pénitents qui y sont recueillies. Alors que toutes les portes du ciel se ferment, celle-ci ne ferme jamais. Un ange du nom de « Ramiël » placé sur une roue soutenue par six cents Hayoth puissants cueille ces larmes et en fait une couronne. Les larmes qui ont été versées, et en haut, et en bas, à cause de la destruction du temple, sont toujours gardées ; car, en haut aussi, on a versé des larmes sur cet événement, ainsi qu’il est dit : « Les anges ont gémi dehors et les anges de paix ont pleuré amèrement. » Ces larmes sont mêlées à celles qu’on verse à la mort d’un juste et d’un pieux. Mais, au x temps futurs : « Dieu effacera les larmes de toutes les faces », c’est-à-dire les larmes d’en haut, et « il ôtera la honte de son peuple ». Dans ce palais, il existe en outre un esprit qui porte le nom de « Satoutriâ. » Il projette des lumières de tous côtés, comme les étincelles qui s’échappent d’une chandelle. [246a] Les âmes qui arrivent du septième palais sont cueillies par l’esprit sacré Satoutriâ ». Il garde les âmes mâles qui émanent du côté droit, et un autre esprit du nom d’Adiriâ Sanoughiâ garde les âmes femelles qui émanent du côté gauche. Lorsque les âmes reviennent de ce bas monde, elles se retrouvent dans ce palais, et les âmes mâles s’y unissent de nouveau avec les âmes femelles. Quand une âme mâle s’unit à une âme femelle, des étincelles s’échappent et se répandent dans toutes les directions. Ce sont ces étincelles qui donnent naissance aux roues dont il est parlé dans la vision d’Ezékiel. Les roues sont sous les ordres d’un Hayâ appelé « Bazaq ». Ce Hayâ donne naissance à un firmament étendu au-dessus de la tête des Cheroubim. « Bazaq » est chargé d’estimer le mérite des prières et de l’étude de la Loi faite pendant la nuit. Dès que le jour commence à poindre, « Bazaq » suspend ces prières et ces études au firmament où sont fixés les étoiles, la lune et les autres corps célestes. Ce firmament porte le nom de « Livre de souvenir », ainsi qu’il est écrit : Et il fit écrire dans le livre de souvenir. » Quatre roues célestes posées sur douze piliers sont gouvernées par les quatre chefs « Abaniel », « Qedoumiel », « Malkhiel », « Jahadounhi », qui ont les clefs du Nom Sacré entre leurs mains. Ces quatre anges sont exprimés dans les lettres du nom [246b] « Adonaï » gardées par « Sandalphon », chefs des chars, tandis que « Bazaq » garde les lettres du Nom sacré « יהוה ». « Jahdounhi », qui est l’union des deux Noms sacrés mentionnés, se trouve également dans ce palais. C’est un esprit qui naît de l’union de deux autres esprits, telle ls couleur résultant de la réfraction de rayons du soleil, lorsque les rayons de cet astre dardent sur l’eau. Cet esprit tient donc d’un côté et de l’autre auxquels il sert de trait d’union pour rendre complet le Nom sacré. Au milieu du palais, il y une colonne appelée « Adrahaniël » ;elle conduit au second palais et y transmet les prières.

Le Second Palais.

Le second palais est plus mystérieux que le premier ; il est le séjour de la Foi. Il est pourvu de trois portes gardées par un ange du nom d’ « Ourphaniel ». Il règne sur trois directions : le Sud, le Nord et l’Est. Au-dessous de lui, sont placés deux autres chefs. Ils sont chargés de recueillir les âmes des hommes exécutés à la suite d’un jugement du Tribunal ou tués par le païens. Les chefs célestes gravent les visages de ces malheureux sur leur habit de feu qu’ils montrent ensuite à leur Maître. Celui-ci les reproduit parmi les noms de ceux qui ont été tués par les païens. Ce chef possède une coupe pleine de lumière et de vie qui porte le nom de « coupe de consolation ». Il la tend aux affligés. [247a] De même que le côté saint a des palais, des chefs, des esprits et des anges servant au bien, le côté impur a aussi des palais, des chefs, des esprits servant au mal. À un côté correspond exactement l’autre côté ; l’esprit du mal correspond à l’esprit du bien. Ce palais porte le nom de « lumière éclatante » (Zohar), parce que l’esprit « Ourphaniel » répand une lumière composée de celle d’en haut et de celle d’en bas. C’est à cette lumière que fait allusion le mot « Haschmal » dans la vision d’Ézéchiel. Ce mot désigne l’ange « Ourphaniel ». Quand une âme arrive en haut, un chef préposé à la garde des vêtements des anges et appelé « Tzadeqiël » la saisit et la conduit auprès d’ « Ourphaniel ». Celui-ci décide du vêtement qui lui convient, toujours proportionné aux oeuvres accomplies en ce bas monde. L’âme est ensuite conduite au « fleuve de feu », par lequel toute âme doit passer pour être purifiée. Il arrive parfois qu’une âme se noie dans ce fleuve, qu’elle y est consumée et n’en remonte plus. Mais si l’âme est digne et remonte du fleuve, elle est revêtue de son habit et remise au Grand-prêtre Michel qui l’offre en holocauste à l’Ancien des Temps, devant lequel elle reste éternellement. Heureuse âme jugée digne d’une telle faveur ! L’union de deux esprits donne naissance au Seraphim à six ailes qui régissent le monde et qui sanctifient leur Maître trois [247b] fois par jour. Il sont très méticuleux dans leur jugement; la moindre faute d’un juste lui est comptée par ces Seraphim pour un crime, tel, par exemple, la faute de se faire servir par un homme qui a étudié les six séries de la Mischna. Au-dessus de ces Seraphim aux visages d’aigle, il y a un Hayâ appelé « Ophiel » qui tient toutes les clefs de la Sagesse. C’est lui qui demande à Dieu de récompenser tous ceux qui s’appliquent à l’étude de la Loi sacrée. C’est selon le degré de savoir que l’âme a acquis en ce bas monde, qu’elle est récompensée en haut. Les Seraphim ont pour but de terrasser les autres seraphim à forme de serpents qui émanent du mauvais serpent, cause de la mort de tout le monde. Au-dessus de ce Hayà, il y a quatre roues disposées dans les quatre directions du monde. Celle de l’Orient s’appelle « Haniël » ; celle du Nord « Quarschiel » ; celle du Sud « Ezriël », et celle de l’Ouest « Aniël ». C’est de ce palais que vient le don de la prophétie accordé à chacun suivant son degré de savoir. À l’un est donnée la vision claire, à l’autre une vision trouble, et un autre encore une vision en songe. [248a] Nul prophète n’a eu de vision aussi claire que Moïse qui puisait à la source même.

Traité des Palais de Zohar II - folio 244a à 269a
Traité des Palais

Troisième Palais.

Le troisième palais a plus de lumière que les deux précédents. Il a quatre portes qui donnent sur les quatre directions du monde et à chacune desquelles se tient un chef. À la première porte se tient le chef « Malkhiël » préposé à la garde des décrets émanant du tribunal du Roi. Avant de transmettre ces décrets à ses subalternes, il les lit. Il a sous ses ordres deux écrivains, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. Tant que les décrets sont entre les mains de ce chef, ils sont susceptibles d’être abrogés. Mais dès qu’ils arrivent aux chefs du premier palais, les peines qu’ils infligent sont inéluctables. Car ce chef les transmet immédiatement à un chef de l’ « autre côté », un chef impur de la rigueur, qui est sans pitié et qui porte le nom de « Sangadiel ». Celui-ci se tient à la porte du premier palais entouré de plusieurs légions et n’attend que l’instant de recevoir un décret pour l’exécuter immédiatement. Les deux écrivains assis aux côtés de « Malkhiël » s’appellent « Schamschiel » et « Quemouël ». Comme le chef de l’ « autre côté » exécute incontinent les décrets qu’il reçoit [248b] Dieu chargea un chef de garder les décrets entre ses mains pendant quelque temps avant de le remettre au chef du premier palais. La première porte est du côté du sud. La seconde porte est maîtresse de vie et de mort ; car c’est là que les décrets sont signés. Elle est gardée par le chef « Gazriël ». Il a au-dessous de lui deux autres chefs appelés « Sanouriâ » et « Adiel »; l’un de ces deux garde les décrets de vie, et l’autre ceux de mort. Cette porte est fermée tous les jours de la semaine; elle ne s’ouvre que le jour du Sabbat et le premier du mois. Le jour du Grand Pardon, cette porte est fermée jusqu’à la prière de Vêpres. Quand la prière de Vêpres est récitée, cette porte s’ouvre et les deux chefs se tiennent l’un à droite et l’autre à gauche, tenant dans leurs mains l’un les décrets de vie, l’autre les décrets de mort. Cette porte est du côté de l’Orient. De la troisième porte dépendent les maladies, les souffrances et la pauvreté ! Quand cette porte est fermée à la prière d’un homme, celui-ci sera accablé de maladie, de souffrance et de pauvreté, jusqu’à ce qu`il fasse pénitence. Elle est gardée par le chef « Qaphtziel ». Il a au-dessous de lui un chef du nom d’ « Iriel », lequel confie le sort des hommes condamnés à la maladie ou à la pauvreté à un autre chef du côté impur appelé « Ascara ». C’est ce dernier qui frappe de maladie les enfants en dessous de treize ans. Ceux de treize ans jusqu’à l’âge de vingt ans sont confiés à l’esprit appelé « Aghirison » qui sort du « serpent tortueux », auteur de la mort de tout le monde; c’est l’esprit tentateur. À partir de l’âge de vingt ans, le sort de l’homme est confié au serpent lui-même, appelé ange exterminateur. Les esprits chargés de frapper les enfants [249a] ne frappent jamais que quand ils y sont autorisés, tandis que le serpent lui-même frappe parfois sans autorisation, ainsi qu’il est écrit « Et il y a des hommes qui disparaissent sans jugement. » C’est pour cette raison que l’ange exterminateur est appelé « très bon », parce qu’il enlève parfois l’homme avant que celui-ci ne dégénère encore davantage. Cette porte se trouve du côté du Nord. La quatrième porte est le séjour des guérisons. Elle est gardée par un chef appelé « Padiel ». C’est de là que sortent toutes les guérisons du monde, et c’est là que montent les prières de tous les malades et de tous ceux qui souffrent et qui peinent. C’est le chef mentionné qui fait monter ces prières à Dieu. C’est cet ange qui est désigné sous le nom d’ « Ange défenseur entre mille », parce qu’il est entouré de mille autres anges. Cette porte ouvre sur l’Occident. Les âmes, lorsqu’elles sont trouvées dignes, entrent par cette porte où elles sont recueillies par un esprit pur du nom de « Zahariël », né de la semence sacrée qui coule comme de l’huile du monde d’en haut et qui est appelée « lumière », ainsi qu’il est écrit : « J’ai préparé la lumière à mon oint. » Les âmes sont ointes par le chef « Adiel » avant de passer par le « fleuve de feu ». Et ensuite elles sont offertes en holocauste. La lumière sortant de cette porte est un composé de trois lumières unies, car la semence d’en haut est composée de trois couleurs. De cette lumière sortent vingt-deux rayons auxquels correspondent les vingt-deux lettres de l’alphabet dont les âmes sont marquées. Ces rayons [249b] donnent naissance à un saint Hayâ ayant la forme d’un lion et d’un aigle à la fois et appelé « Athiel ». Au-dessus de ce Hayâ, existent quatre roues gouvernées par les quatre anges pourvus chacun de huit ailes et appelé « Hadriël », « Jahadriël », « Ahadouri », et « Asimona ». Ces anges sont les chefs de la guerre. Jamais guerre ne se fait ici-bas sans que les étoiles ou autre corps célestes préposés à la garde des nations belligérantes ne se déclarent la guerre entre eux. Du troisième palais du côté impur sortent deux esprits appelés « Aph » et « Hemâ » qui donnent naissance à tous les autres esprits impurs qui parcourent le monde pour séduire les hommes et les détourner de la voie de la vérité. Ils se jettent surtout sur l’homme qui se met en route pour accomplir une bonne oeuvre. Quarante esprits impurs s’appliquent à faire prononcer aux hommes des paroles impures et ordurières. Un tel homme est mis au ban pour quarante jours pendant lesquels sa prière ne monte pas au ciel. Une voix retentit dans tous les cieux disant : Gardez-vous d’un tel ; car il est mis au ban pour avoir prononcé une parole ordurière, imprimant une tache à son âme qui ne s’efface que par la pénitence. Que Dieu nous préserve d’un tel homme ! Même pendant le sommeil, l’âme d’un tel homme ne s’élève pas en haut; car les portes du ciel lui sont fermées. La roue qui tourne autour de ces quarante esprits arrive dans sa course à la région appelée « Thaha-ratzim ». Là sont placés les anges appelés « Haschmalim », qui sont pourvus d’armes pour défendre Israël contre [250a] les peuples païens. De là le nom de « ha-ratzim » qui signifie « courir », parce que cette roue parcourt de nombreuses légions offrant tantôt un spectacle joyeux et tantôt un spectacle de tristesse, tel que les coureurs d’Assuérus apportent à Suse tantôt de bonnes et tantôt de mauvaises nouvelles. Dans ce palais, tournent douze roues conduites par des Seraphim de deux couleurs, blanc et rouge, clémence et rigueur. Heureux le sort de ceux dont la prière parvient jusqu’à ce troisième palais; car d’ici on la transmet au quatrième où elle paraît devant le Saint, béni soit-il. L’Écriture désigne la magie sous le nom de « Haber », qui signifie également « ami », parce que l’homme qui pratique la magie s’attire l’esprit impur et se l’attache comme un ami. Mais cet ami se change bientôt en exterminateur; il prive l’homme de bénédictions et en cause la mort. Mais il y a aussi un ami du côté saint qui comble l’homme de bienfaits en ce monde et dans le monde futur. Cet ami est le chef des anges [250b] appelé « Erelim ». Ces anges enregistrent les bonnes oeuvres des hommes ainsi que le bonnes actions qu’on s’est proposé de faire, mais qu’on a été empêché d’exécuter. Ils rappellent en haut les voyages qu’on fait pour une bonne cause, ainsi que les honneurs rendus aux morts. Ils rappellent enfin les mauvaises actions qu’on avait l’intention de faire, mais dont on s’est abstenu en domptant l’esprit tentateur. Quand, le premier jour de l’an, il s’assoit dans son tribunal, Dieu regarde à travers les fenêtres du ciel par où arrive la clémence en ce monde. « Heureux le peuple qui sait sonner de la trompette ! » [251a] Car c’est, la sonnerie de la trompette du dernier jour de l’an qui brise la rigueur. Le chef préposé aux fenêtres du ciel porte le nom « Ichiriel » ; il laisse monter dans la maison de prière d’en haut les voeux formés par tous ceux qui sont touchés de compassion pour la misère des pauvres.

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