Le Couple Humain à travers le Tantrisme et l’Alchimie

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Le Couple Humain à travers le Tantrisme et l’Alchimie par Serge Hutin.

Les grands Secrets de l’ « Œuvre à Deux »

Un grand ésotériste français, Valentin Bresle, nous dit : Le Grand Œuvre est un acte sacré qui réalise sur tous les plans de l’être, à tous les degrés d’âme, du tellurique au céleste, du métallique au psychique, ce que les mystiques comme les alchimistes nomment mariage divin (1).

On peut dire, fort justement, que le plus grand secret hermétique, le couronnement même du Grand Œuvre, est bien celui des « Noces chimiques », c’est-à-dire de la fusion des deux natures antagonistes mais complémentaires. Qu’il s’agisse de la fusion minérale du Soufre et du Mercure ou du mariage mystique, des parties masculine et féminine de notre être incorporel. Mais cela ne jouerait-il pas aussi au niveau du couple humain lui-même ? En vertu de la grande loi traditionnelle si bien systématisée dans la Table d’Émeraude : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » (et vice versa), un tel fait n’aurait rien d’étonnant.

Le Couple Humain à travers le Tantrisme et l’Alchimie

Reportons-nous en effet à la biographie des plus célèbres alchimistes : nous nous apercevrons qu’à côté des adeptes ayant œuvré solitaires dans leur quête de la Pierre, il en est d’autres qui ont œuvré en couple, le cas le plus célèbre étant l’union alchimique de Nicolas Flamel et de son épouse Pernelle.

D’autre part, interrogeons-nous sur la raison d’être d’une règle très impérativement suivie tant par les instructeurs tantriques orientaux que par les adeptes d’Occident : pour accomplir le Grand Œuvre, il faut être un homme ou une femme normalement constitués ; l’homosexuel, de naissance ou occasionnel (voyez le lamentable échec de la grande aventure tantrique d’Arthur Rimbaud), ne pourra le réaliser non pour des raisons d’interdit moral, mais parce que sa polarité sexuelle est inversée, donc aberrante, par rapport aux normes de départ.

Sans l’énergie sexuelle, la magie en général, et la magie tantrique tout spécialement, serait en fait impossible. Écoutons Paul Grégor, initié aux pratiques de la macumba brésilienne : En y pensant certains mots s’imposent à mon esprit. Tels que : sang, sacrifice, horreur maîtrisée. Car la magie n’est ni noire, ni blanche. La couleur de la magie est rouge. Avec quelques lueurs argentines. Reflet des étoiles. Pressentiment d’une libération cosmique (2). Le même auteur n’hésitant pas à nous mettre devant l’équation : La magie = Sexualité + Volonté + Symbolisme fascinant (3).

La moderne psychologie des profondeurs ayant, elle, bien mis en évidence les liens directs entre la sexualité et l’imagination, cette prodigieuse magicienne méconnue. Laissons encore la parole à Grégor : Les Archétypes de Jung sont des symboles communs à l’humanité et qui proviennent d’un passé immémorial (…). Il s’agit d’images quasiment magiques et qui remuent des couches profondes du subconscient. Leur influence libère des forces d’âme exceptionnelles (4).

Mais, chez l’homme ordinaire, aussi bien la sexualité que l’imagination (ces deux puissances si intimement liées) se dispersent, « coulent » anarchiquement. Le problème, pour les êtres d’exception capables de s’engager sur une voie périlleuse à l’extrême, étant le suivant : comment, donc, réussir à libérer d’une manière coordonnée, positive les si prodigieuses énergies musiques qui sont en l’être humain ?

C’est un tel but que se propose l’ensemble de techniques secrètes désignées sous le nom de tantrisme, et qui ne sont pas seulement propres à certaines catégories d’hindouisme ou de bouddhisme puisqu’on en retrouve des formes bien caractéristiques dans les traditions spirituelles de l’Occident. Le mot sanscrit Tantra signifie « Livre » ou « Système », mais il a un sens plus précis et significatif sans doute, qui est « trame » : le tantrika, c’est l’être qui – par les secrets qui lui ont été transmis par son instructeur (gourou) – devient d’échapper à la « trame » même des apparences sensibles, car il en connaît dès lors tous les secrets véritables. Ainsi se conquiert l’illumination libératrice et caractérisée par Paul Grégor en ces termes : dans ses perspectives le passé ne s’évanouit pas tout à fait, et l’avenir n’est pus entièrement inconnu. Ces deux temps coexistent, en quelque sorte, dans un présent magique (5). L’illumination tantrique fera donc accéder les élus à la conscience de ce qui est au-delà des apparences : l’éternel présent, la conscience même du Divin. Citons les toutes dernières lignes du splendide roman initiatique de Gustav Meyrink, Le Visage Vert (6). Elles précisent : Comme la tête de Janus, Haaberisser (le héros du livre) pouvait plonger ses regards à la fois dans l’au-delà et dans le monde terrestre, et en distinguer nettement les détails et les choses. Il était un Vivant – ici-bas et dans l’au-delà.

On trouve, ramassés dans cette formule, deux points capitaux. D’une part, le fait que l’illumination tantrique permet à l’initié (en attendant sa définitive libération des phantasmes de la Mâyâ) de vivre sur deux plans ; de l’autre, le fait qu’elle marque (c’est d’ailleurs la même chose) l’accession définitive d’un être humain à l’état d’éveil (il serait sans doute plus exact de dire : de réveil). Un autre passage du même roman initiatique nous dit : Ceux qui s’imaginent que la vie commence à la naissance et se termine à la mort, évidemment ne voient pas le cercle ; comment pourraient-ils le briser (7) ? Tel est, en effet, le but du tantrisme : atteindre l’unité dynamique et pouvoir ainsi briser l’Illusion (Mâyâ), ce qui entraînera pour l’adepte la sortie de la chaîne indéfinie des renaissances corporelles.

On remarquera que l’ésotérisme tantrique est une voie « homéopathique » en quelque sorte : loin de chercher à engendrer chez l’initié l’oubli ou l’ignorance de l’incessante fantasmagorie des apparences, elle lui procurera la connaissance totale du mécanisme même de son déroulement, de manière à le rendre inoffensif, alors que l’homme ordinaire s’y perd comme Narcisse dans son reflet. Comme le dit une formule traditionnelle reprise par Julius Evola (et titre de l’un de ses livres), il s’agit de parvenir à « chevaucher le tigre ». C’est d’ailleurs ce que précise fort bien Boris Mouravieff : Si nous savions ce qu’est l’Illusion, nous saurions- par opposition ce qu’est la Vérité. Et la Vérité nous affranchirait (Jean, viii, 32) (8). Et ce n’est pas, mais pas du tout, le prodigieux accroissement du savoir scientifique et technique qui changera quelque chose au grand problème de la sortie du cercle clos, d’une libération hors de la fantasmagorie des apparences. Mouravieff le remarque fort bien : Que l’homme meure dans son lit ou à bord d’une frégate interplanétaire, la condition humaine n’en est point changée (9).

Mais essayons de mieux cerner ce qu’est le tantrisme. Celui-ci constitue une voie libératrice spéciale, mais qui, répétons-le, s’est développée au sein des diverses Traditions spirituelles. C’est d’ailleurs un trait constant de tout système ésotérique que de se développer ainsi — mais avec tous les chemins se rejoignant finalement au sommet – conformément aux impératifs temporels (humains et historiques) : la Tradition, certes, est une, mais il est nécessaire que sa polarisation (c’est exactement cela) soit diversifié (10).

Le tantrisme ne se présentera donc pas seulement sous des formes orientales. Nous nous bornerons à un exemple bien significatif : l’ouvrage de R. Swinburne Clymer, The Fraternitas Rosae Crucis (11), comporte un frontispice symbolique tout à fait révélateur : on y voit représentée une femme qui tient une coupe dans la main droite, un morceau de pain dans la main gauche ; chacun de ses seins porte une rose blanche ; d’un coude à l’autre, en passant derrière elle, se déroule une draperie. Le bras ascendant réunit d’une Croix symbolique le Feu (représenté à l’emplacement du sexe) au « troisième œil » (celui de l’illumination) figuré sur le front de la femme.

Mais qu’est-ce donc que le tantrisme, en faisant abstraction des différences dans sa formulation traditionnelle ? Il s’agira d’une voie magique axée sur la totale maîtrise de l’Énergie divine, représentée comme l’« Épouse » (en sanskrit Shakti) du Principe divin, celui-ci étant conçu comme fixe, statique, Immuable alors que le Principe féminin – la Mère divine – sera sa grande Force de manifestation, qui, se transformant sans lin, produit tous les phénomènes existant sur les divers plans de réalité.

Mais la voie tantrique sera pour ses adeptes une réintégration : il y a eu chute originelle, « emprisonnement » (si l’on veut) des âmes dans les corps, dans les apparences physiques. Pour parvenir à cette réintégration, le tantrika utilisera donc le moteur même qui ne cesse d’engendrer toutes les formes d’Illusion : il utilisera un Feu qui n’est autre que la sexualité – ou plus exactement (nous allons nous en rendre compte) son autre face – aux pouvoirs bien plus étendus. Que fait, en effet, le tantrika par ses exercices spéciaux ? Il fait monter en lui ce qu’il appelle la force Koundalini (féminin du mot sanskrit Koundali, qui signifie « lové »). Ainsi se nomme l’énergie divine qui, chez l’homme ordinaire, se trouve assoupie au bas de l’épine dorsale, c’est-à-dire au niveau des organes sexuels. De même que pour construire un édifice, il faut commencer par les fondations et non par le toit, de même pour passer de l’homme actuel (l’homme déchu) au surhomme (c’est-à-dire l’homme régénéré ayant retrouvé l’état glorieux d’Adam avant la chute), il faut commencer par œuvrer au niveau du sexe. S’il ne commence pas par éveiller son centre sexuel, l’initié tantrique ne pourra espérer l’éveil final du centre psychique supérieur, sis au milieu du crâne et qui commande la perception directe de l’univers dynamique ; de la même manière que dans l’alchimie de laboratoire, il faut bien consentir à commencer par se salir les mains avant de parvenir à préparer la pierre philosophale. Le postulat de départ du yoga tantrique est bien celui-ci : l’homme possède tapie au fond de lui-même et (quand elle n’est pas assoupie) se gaspillant à tort et à travers chez l’individu ordinaire, une énergie vibratoire colossale – celle-là même de la Mère divine, matrice de toutes choses. Le tantrika, faisant monter en lui l’énergie Koundalini, éveillera successivement les centres subtils appelés en sanskrit Chakras, c’est-à-dire « roues » ou, plus exactement peut-être, « disques de rotation ». Ces centres subtils permettront à l’initié tantrique d’avoir peu à peu, s’il réussit, la maîtrise totale de l’univers dynamique – et (précision importante) aussi bien dans son propre corps que dans le cosmos (en raison du parallélisme total entre le macrocosme et le microcosme).

Dans son éveil, le « Feu-Serpent », l’énergie Koundalini suivra un cours en spirale comparable aux anneaux d’un serpent (d’où la raison d’être des figures tantriques où la Koundalini est figurée sous forme d’un serpent) (12), Que fera le tantrika grâce à ce Feu vibratoire éveillé en lui ? Tout d’abord, il conquerra l’illumination totale ; puis (mais c’est là la destinée d’un nombre infime d’adeptes, choisis par les Puissances Supérieures pour une mission exceptionnelle) il pourra se voir Intimer l’ordre de préparer l’élixir de longue vie et peut-être même finira-t-il par atteindre l’immortalité céleste, c’est-à-dire celle en corps glorieux…

Mais que devient le problème du couple ? II est indéniable qu’il est une forme de tantrisme qui se pratique à deux. Les peintures ou statues tantriques qui représentent un couple dans la posture dite Yab-Youm (« père-mère »), celle où l’homme prend la femme assise sur ses genoux ou ses hanches et le regardant dans les yeux, ne sont pas seulement symboliques. Pour pouvoir « nager jusqu’à l’autre rive », nécessité d’avoir une compagne de route : telle est, effectivement, l’une des formes traditionnelles du tantrisme. Est-ce à dire qu’il s’agisse d’une voie facile à l’extrême, puisque n’importe quel couple humain normalement constitué n’aurait donc qu’à s’unir dans la posture « père-mère » ou dans les autres positions tantriques pour conquérir l’illumination, voire l’immortalité ? Absolument pas. La voie tantrique à deux est bel et bien une ascèse, pas du tout (nous parlons évidemment de ses formes authentiques, et non de certaines écoles qui n’ont de « tantrique » que le nom) quelque chose de « facile » à l’extrême. Espérer que les divertissements érotiques ordinaires peuvent se transformer en « tantrisme » est aussi absurde que de croire qu’une chansonnette à la mode pourrait – si on l’exécutait avec beaucoup de bruit et de variations – se transformer en une symphonie de Beethoven. Mais, cela dit, il existe bien une forme de tantrisme (celle dite « de gauche ») où il y a contacts physiques avec une compagne de chair. Voici ce que précise le texte de base du  Hathayogapradipika (13) :

43 – Quand même le liquide spermatique serait descendu, lorsque son organe est déjà dans le sexe de la femme, il est capable de le retirer vers le haut et de lier la « yonimudra » (le sceau du vagin).

42 – Comme, tant qu’il y a du bois, le feu (brûle), tant qu’il y a de l’huile et la mèche, la lampe (éclaire)… On touche ici un point très important : le maithuna (union sexuelle) tantrique poursuit des buts radicalement distincts de la destinée habituelle (la procréation) des rapports conjugaux.

C’est un autre roman de Gustave Meyrink, Le Dominicain blanc (14), fait allusion à l’existence de « chaînes » tantriques d’initiés avec transmission héréditaire des secrets ; mais c’est là quelque chose d’exceptionnel. De toute manière, les rares époux tantriques qui reçoivent l’ordre d’engendrer un enfant pour perpétuer la chaîne le font par une étreinte courante.

Paul Grégor précise fort bien d’après sa propre expérience capitale ce qu’est le caractère non procréateur du maithuna tantrique : Tout indique que l’organisme absorbe au cours de ces transports toujours renouvelés une grande partie de ses propres sécrétions, encore assez mystérieuses sur le plan scientifique. D’autre part, la durée du dénouement final est à son tour si absurdement longue, si peu imprégnée de l’angoisse commune de la « petite mort » qui est le sobriquet de l’acte accompli, qu’on sent des effluves de sa propre passion, d’un magnétisme presque sensible, refluer vers son propre cœur, vers son propre cerveau, les plongeant dans un sommeil d’une profondeur inconcevable (15).

Le but des étreintes tantriques est de réaliser l’intériorisation (nous ne disons pas l’inversion, la nuance est importante) de l’énergie sexuelle. Le couple qui pratique les exercices du tantrisme dit « de gauche » effectue une véritable descente dans le monde souterrain, préparatoire à sa remontée dans la lumière irradiante. Le maithuna (union sexuelle) correspondant, dans le symbolisme initiatique, à la caverne, à l’antre des mystères qui contient l’œuf primordial d’où est sorti l’androgyne (nous verrons tout à l’heure l’importance de ce symbolisme). À ce propos et pour faire une parenthèse, nous rappellerons le fascinant passage où Plutarque relate l’initiation souterraine de Thespesius : demeurant trois jours en état de léthargie (on trouve l’équivalent, plus bref ou plus long, dans certaines initiations tantriques), il remonte au jour ; après avoir invoqué Bacchus et Sémélé, il découvrira dans le ciel le Triangle divin. Et alors lui apparaîtra un ange androgyne (16).

Détenant, comme l’alchimie, toutes les clefs de la Vie sur tous les plans, l’initié tantrique pourra conquérir (reconquérir plutôt, puisqu’il s’agit d’une perspective de régénération), les pouvoirs surhumains de l’Adam glorieux : il pourra, à volonté, vaincre la maladie, la vieillesse et la mort. Le surhomme tantrique est bien redevenu l’être antérieur à la chute, et donc réinvesti de toutes ses prérogatives glorieuses. Assurément, une telle reconquête démiurgique des pouvoirs ne sera licite que si elle s’insère dans l’accomplissement d’une mission divine très précise ; autrement, on tomberait dans une forme exaltée de luciférisme. En principe, rien ne viendrait limiter l’étendue des pouvoirs du magicien tantrique, devenant capable de réaliser tous les rêves démiurgiques. Laissons encore la parole à Paul Grégor : Les corps étendus des médiums formaient une chaîne trépidante d’électricité animale. Je me sentais baigner dans l’aura de leur jeune sensibilité qui se propageait autour de moi, visible, luisante comme un arc-en-ciel phosphorescent. Soudain, un léger tintement se révéla à mon ouïe et voilà… oh miracle, au-dessus de ma tête, au milieu d’un éclat cristallin évoquant une coupe précieuse, je vis apparaître une silhouette et un visage d’enfant net et, beau (…) il s’agissait, cette fois-ci bel et bien du rêve matérialisé de tous les mages, de l’« homunculus » des alchimistes moyenâgeux, de la plus glorieuse et plus puissante matérialisation des esprits créateurs (17).

On touche d’ailleurs là à l’un des secrets majeurs de l’alchimie : l’évocation des entités angéliques sans lesquelles l’accomplissement des opérations serait – et ce, sur les divers plans (matériels et subtils) – impossible.

Il faut bien remarquer que l’accomplissement effectif du maithuna (union sexuelle) sur ce plan-ci n’est que l’une des formes de tantrisme. En fait, il en est deux autres : d’une part, la voie de l’ascèse solitaire, dans laquelle le tantrika (homme ou femme) s’unit à une épiphanie divine, à une polarisation particularisée de la Grande Ame ; de l’autre, la voie où il y a bien deux amants tantriques (tous deux un homme et une femme concrets) mais dans laquelle l’union ne se fera pas physiquement – seulement sur les plans subtils (les contacts pouvant, c’est capital, être réels même entre partenaires séparés par de longues distances géographiques).

Plus sur le sujet :

Le Couple Humain à travers le Tantrisme et l’Alchimie, Serge Hutin, Docteur ès Lettres. Article paru dans Initiation & Science, n° 63 de Juillet 1965, pages 26 à 33.

Illustration par cocoparisienne de Pixabay

(À suivre)

Notes :

(1) Thesaurus Sapientiae et Magiae, vol. XVII, p.

(2) Journal d’un Sorcier, Paris (Paul Sebescen), 1964, pp. 11-12.

(3) Ibid., p. 13

(4) Ibid., p. 15

(5) Ibid., p. 9.

(6) Traduction française aux Éditions « La Colombe », Paris, 1964.

(7) Chapitre VI.

(8) Gnôsis, Étude et commentaires sur la Tradition ésotérique de l’orthodoxie orientale (La Colombe), t. I, p. 17.

(9) Ibid.

(10) Nous empruntons un passage à Boris Mouravieff (p. cit., t. I, p. 13) : Cette Tradition unique a été et est toujours présentée sous des formes multiples dont chacune est minutieusement adaptée à la mentalité et à l’esprit du groupe humain auquel s’adresse sa Parole, ainsi qu’à la mission dont il est investi.

(11) Quakertown (Pennslvanie) 1929.

(12) Cf., Jean-Pierre Bayard, Le Feu, Paris (Flammarion), 1958, chapitre XIV : chaleurs magiques.

(13) Cité dans l’étude d’Antoine Zigmund-Cerbu : « Pratiques indiennes d’ingestions magico-religieuses », Cahiers de la Tour Saint-Jacques, I : « La Drogue », p. 28

(14) Traduction française aux Éditions « La Colombe », Paris, 1962

(15) Journal d’un Sorcier, p. 29.

(16) Œuvres morales, Fragment 6.

(17) Journal d’un Sorcier, p. 275.

Illustration extraite du site Metapleroma.org.

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