Le Crata Repoa 1

Le Crata Repoa 1 par Frère Bailleul. 

Initiations aux Anciens Mystères des Prêtres Egyptiens

Le rite des « Architectes Africains » fut sans doute l’un des premiers rites égyptiens. L’égyptomanie commença à se développer avec l’œuvre d’Athanase Kircher (1652) et l’écriture de son Oedipus Aegyptiacus. Plus tard, l’abbé Terrasson, helléniste et académicien, éditera un roman pseudo-initiatique, Sethos ou Vie tirée des monuments et anecdotes de l’ancienne Égypte (1728). Ce récit décrit des initiations imaginaires censées se dérouler en terre d’Égypte. En 1770, deux Allemands, von Köppen et von Hymmen, l’imiteront en publiant le Crata Repoa, suite de textes initiatiques se déroulant dans la même contrée. Rappelons que von Köppen fut l’auteur de ce qui est reconnu comme l’un des premiers rites égyptiens, le Rite des « Architectes Africains » créé à Berlin vers 1767.

Marconis de Nègre s’inspira de ce texte en le développant dans le chapitre intitulé « L’initiation de Platon ».

Osiris, musée du Louvre. Photographie par Rama, 2007.

Préparations

Lorsqu’un aspirant aux mystères avait le désir d’entrer dans la société antique et mystérieuse de Crata Repoa, il devait se faire recommander par un des Initiés. La proposition en était ordinairement faite par le Roi lui-même, qui écrivait à cet effet une lettre aux prêtres.

Ceux-ci adressaient cet aspirant d’Héliopolis aux doctes de l’Institution, à Memphis ; de Memphis, on le renvoyait à Thèbes [1].

Il était circoncis [2].

On le mettait à un régime particulier ; on lui interdisait l’usage de certains aliments [3], même du vin, jusqu’à ce qu’il eût obtenu, dans un grade supérieur, la permission d’en boire de temps en temps. On l’obligeait à passer plusieurs mois, comme un prisonnier, dans un souterrain, où on l’abandonnait à ses réflexions ; il jouissait de la faculté d’écrire ses pensées. Elles étaient ensuite examinées attentivement, et servaient à faire connaître le degré de son intelligence.

Lorsque le temps de quitter le souterrain était arrivé, on le conduisait dans une galerie entourée de colonnes d’Hermès, sur lesquelles étaient gravées des sentences qu’on lui faisait apprendre par cœur [4].

Dès qu’il les savait, un membre de la société ayant le nom de Thesmosphores [5], s’approchait de lui, tenant à la main un grand fouet, pour contenir le peuple devant la porte dite des profanes, par laquelle il introduisait le Récipiendaire dans une grotte.

Là, on lui bandait les yeux, et on lui attachait les mains avec des liens élastiques.

Premier Grade

Pastophoris

Ou Apprenti, chargé de la garde de l’entrée qui conduisait à la Porte des hommes. Le Récipiendaire étant préparé dans la grotte, le Thesmosphores le prenait par la main [6], et le présentait à la porte des hommes [7].

A son arrivée, le Thesmosphores touchait sur l’épaule du Pastophoris (l’un des Apprentis précédemment reçus), qui était de garde à l’extérieur, et l’invitait à annoncer le Récipiendaire ; ce que celui-ci faisait en frappant à la porte d’entrée [8].

Le Néophyte ayant satisfait aux questions qui lui étaient adressées d’abord, la porte des hommes s’ouvrait, et il était introduit.

L’Hiérophante lui posait de nouvelles questions sur différents sujets. Il devait de même y répondre catégoriquement [9].

On le faisait ensuite voyager dans l’enceinte de la Birantha [10], et pendant ce temps, on cherchait à l’effrayer par des éclairs, des coups de tonnerre, et en produisant artificiellement autour de lui tous les effets de la grêle, de la tempête et de la foudre [11].

S’il ne s’en laissait pas trop effrayer, et s’il n’était pas déconcerté, le Menies, ou lecteur des lois, lui lisait les constitutions de la société de Crata Repoa. Il était obligé de promettre de s’y conformer.

Après cette adhésion, le Thesmosphores le conduisait, tête nue, devant l’Hiérophante ; il s’agenouillait ; on lui mettait la pointe d’un glaive sur la gorge, et on lui faisait prêter le serment de fidélité et de discrétion. Il invoquait le soleil, la lune et les astres, pour témoins de sa sincérité [12].

Cet engagement solennel prononcé, on lui ôtait le bandeau de dessus les yeux, et on le plaçait entre deux colonnes carrées, nommées Betilies [13].

Au milieu de ces deux colonnes, étaient couchées une échelle à sept échelons, et une autre figure allégorique, composée de huit portes de différentes dimensions [14]. L’Hiérophante n’expliquait pas d’abord au Récipiendaire le sens mystérieux de ces emblèmes ; mais il lui tenait le discours suivant :

« Vous qui venez d’acquérir le droit de m’entendre, je m’adresse à vous : les portes de cette enceinte sont sévèrement fermées aux Profanes, qui ne peuvent y pénétrer ; mais vous, Menès Musée, vous, enfant des travaux et des recherches célestes, écoutez ma voix ; elle va vous enseigner de grandes vérités. Soyez en garde contre les préjugés et les passions qui pourraient vous éloigner du véritable chemin du bonheur ; fixez vos pensées sur l’Être divin ; ayez-le toujours devant les yeux, afin de mieux gouverner votre cœur et vos sens. Si vous voulez marcher dans la vraie route de la félicité, songez que vous êtes sans cesse en présence du Tout-Puissant, qui gouverne l’univers. Cet Être unique a produit toutes choses ; il les conserve, et existe par lui-même. Aucun mortel ne peut le voir ; rien ne peut être sous trait à ses regards [15] ».
Eusèbe, Preparat. Evangel., 1-13.
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Après ce discours, on faisait passer l’Apprenti sur les degrés de l’échelle, et on lui indiquait à mesure quel en était le symbole fondé sur la métempsycose. On lui enseignait aussi que les noms et les attributions des Dieux avaient une toute autre signification que celle que le peuple y attachait.

Ce grade étant consacré à la physique, on lui expliquait les causes des vents, des éclairs, du tonnerre ; on y comprenait l’anatomie, l’art de guérir et de composer les médicaments.

C’était également dans ce même grade que l’on enseignait aux néophytes la langue symbolique et l’écriture vulgaire des hiéroglyphes [16].

La réception finie, l’Hiérophante donnait à l’Initié le mot d’ordre, à l’aide duquel tous les Initiés se reconnaissaient. Ce mot était Amoun ; il signifiait ‘sois discret’ [17].

Ils se reconnaissaient encore par un attouchement manuel [18].

On remettait au Récipiendaire une espèce de bonnet terminé en pyramide, et on lui ceignait autour des reins un tablier appelé Xylon.

Il portait autour du cou un collet dont les bouts tombaient sur la poitrine.

Du reste, il était déshabillé pendant la réception.

Il devait garder à son tour la porte des hommes.

Second Grade

Neocoris.

Si le Pastophoris, pendant l’année de son apprentissage, avait donné des marques d’intelligence, on lui imposait un jeûne sévère, pour le préparer à devenir Neocoris [19].

Cette année expirée, il était mis dans une chambre obscure, appelée Endimion [20].

De belles femmes lui servaient des mets délicats, pour ranimer ses forces épuisées. C’étaient les épouses des prêtres, et même les vierges consacrées à Diane, qui allaient ainsi le visiter. Elles l’excitaient à l’amour par toutes sortes d’agaceries. Il devait triompher de cette épreuve difficile, pour prouver l’empire qu’il avait sur lui-même.

Après l’avoir subie, le Thesmosphores venait à lui, et lui posait diverses questions. Si le Neocoris y répondait avec justesse, on l’introduisait dans l’assemblée. Le Stolista (ou Aspergeur) jetait de l’eau sur lui pour le purifier ; on l’obligeait à affirmer qu’il s’était toujours conduit avec sagesse et chasteté.

Après cette déclaration, le Thesmosphores courait vers lui, ayant dans les mains un serpent vivant qu’il lui jetait sur le corps, et le retirait par le bas tablier [21].

Le local paraissait rempli de reptiles, pour tâcher de porter l’effroi dans l’âme du Neocoris [22].

Plus il se montrait courageux dans cette épreuve, plus il était comblé d’éloges après sa réception.

On le ramenait ensuite vers deux colonnes très élevées, au milieu desquelles un griffon poussait une roue devant lui [23].

Ces colonnes signifiaient Orient et Occident. Le griffon était l’emblème du soleil ; et la roue, du centre de laquelle partaient quatre rayons, figurait les quatre saisons.

On lui apprenait en même temps l’art de calculer l’hygromètre (qui servait à évaluer les inondations du Nil) ; on l’instruisait dans la géométrie et l’architecture, et il se familiarisait avec les calculs et les échelles des mesures dont il devait avoir à se servir dans la suite. Mais ceci était un grand secret, qui n’était découvert qu’à ceux qui appartenaient à une secte dont les connaissances étaient bien supérieures à celles de la population.

On lui donnait pour insigne un bâton accolé d’un serpent. Le mot d’ordre du grade était Eve : à cette occasion, on lui racontait l’histoire de la chute du genre humain [24].

Croiser les deux bras sur la poitrine était le signe dont il devait se servir pour se faire reconnaître [25].

Son emploi était de laver les colonnes.

Troisième grade

La Porte de la Mort.

Le nouvel Initié recevait le nom du Melanephoris.

L’intelligence et la bonne conduite de Neocoris l’ayant rendu digne de ce grade, on le pré venait du moment de sa réception.

Il était conduit par le Thesmosphores dans un vestibule au-dessus de l’entrée duquel était écrit : Porte de la Mort.

Ce vestibule était rempli de différentes espèces de momies et de cercueils figurés : des dessins analogues en ornaient les murailles. Comme c’était l’endroit où l’on déposait les morts, le nouveau Melanephoris y trouvait les Paraskistes [26], et les Heroi [27] qui s’occupaient de leurs travaux. Au milieu, était placé le cercueil d’Osiris, qui, à cause de son assassinat supposé récent, portait encore des traces de sang.

On demandait au nouveau Melanephoris s’il avait pris part à l’assassinat de son maître ? Après sa réponse négative, deux Tapixeytes [28] s’emparaient de lui.

Ils le conduisaient dans une salle ou étaient les autres Melanephoris habillés en noir. Le roi lui-même, qui assistait toujours à cette cérémonie, abordait le Récipiendaire avec une apparence gracieuse, et lui présentait une couronne d’or qu’il lui proposait d’accepter, s’il ne se croyait pas assez de courage pour soutenir les épreuves qu’on allait lui faire subir.

Mais le nouveau Melanephoris, sachant qu’il devait rejeter cette couronne, la foulait aux pieds [29]. Aussitôt le roi s’écriait : Outrage, vengeance ? et, s’emparant de la hache des sacrifices, en frappait (doucement) le Melanephoris à la tête [30].

Les deux Tapixeytes renversaient le Récipiendaire ; les Paraskistes l’enveloppaient des bandelettes des momies. Pendant cette action, tous les assistants gémissaient autour de lui. On le transportait vers une porte où était écrit : Sanctuaire des Esprits. Au moment où on l’ouvrait, des coups de tonnerre se faisaient entendre, des éclairs brillaient, et le prétendu mort se trouvait entouré de feu [31].

Caron s’emparait de lui comme d’un esprit, et le descendait chez les juges des sombres bords. Pluton, assis sur son siège avait à ses côtés Rhadamante et Minos, ainsi qu’Alecton Nicteus, Alaster et Orpheus [32].

Ce tribunal redoutable lui adressait des questions sévères sur tout le cours de sa vie ; enfin, on le condamnait à errer dans ces galeries souterraines.

On le débarrassait ensuite de ses enveloppes et de tout l’appareil mortuaire.

Il recevait alors de nouvelles instructions ; elles étaient ainsi conçues :

  1. N’avoir jamais soif du sang, et assister les membres de la société, lorsque leur vie est en danger ;
  2. Ne jamais laisser un mort sans sépulture ;
  3. Attendre une résurrection des morts et un jugement futur.

On l’obligeait, dans ce grade, à s’occuper, pendant un certain temps, du dessin et de la peinture ; car il entrait dans les fonctions d’un Melanephoris de décorer les cercueils et les rubans des momies.

Une écriture particulière lui était enseignée ; on la nommait hiero-grammaticale : elle lui devenait d’autant plus utile, que l’histoire d’Égypte, la géographie, les éléments de l’astronomie, étaient tracés dans cette langue.

Il recevait aussi des leçons de rhétorique, afin de pouvoir prononcer en public les oraisons funèbres.

Le signe de reconnaissance consistait dans une embrassade particulière, dont l’objet devait exprimer la puissance de la mort ; le mot était Monach Caron mini. Je compte les jours de la colère.

Le Melanephoris restait dans ces galeries souterraines jusqu’à ce qu’on pût juger s’il était capable d’avancer dans de plus hautes sciences, ou si l’on ne pourrait faire de lui qu’un Paraskiste ou un Heroi ; car il devait y passer le reste de ses jours, s’il n’atteignait pas aux véritables connaissances.

Quatrième Grade : Bataille des Ombres

(Tertullien, De militis Coronâ) Chistophoris

Le temps de la colère durait ordinairement dix-huit mois. Lorsqu’il était passé, le Thesmosphores venait voir l’initié, le saluait gracieusement, et l’invitait à le suivre après l’avoir armé d’une épée et d’un bouclier.

Ils parcouraient des galeries sombres. Tout à coup, des hommes masqués sous des figures hideuses, entourés de serpents et ayant des flambeaux à la main, attaquaient l’initié en criant Panis.

Le Thesmosphores l’excitait à affronter les dangers et à surmonter tous les obstacles. Il se défendait avec courage, mais il succombait sous le nombre ; alors on lui bandait les yeux, et on lui passait une corde au cou avec laquelle il était traîné par terre jusqu’à la salle où il devait recevoir un nouveau grade.

Les ombres s’éloignaient subitement en poussant de nouveaux cris. On le relevait exténué et on l’introduisait, pouvant à peine se soutenir, dans l’assemblée. La lumière lui était rendue et ses yeux étaient frappés des décorations les plus brillantes. La salle offrait la réunion des plus beaux tableaux. Le Roi lui-même siégeait à côté du Demiourgos (chef, inspecteur de la société).

Au-dessous de ces hauts personnages était assis le Stolista (purificateur par l’eau) ; le Hierostolista (secrétaire), portant une plume à sa coiffure ; le Zacoris (trésorier), et le Komastis (chargé des banquets).

Tous portaient l’Alydée. (Vérité. C’était une décoration égyptienne. Actianus, Var. Hist. liv. XIV, chap. 34, en parle en ces termes : « Eum omnium hominum justissimum et tenacissimum opportebat qui circa collum imaginem ex saphiro gemma confectam gestabat ».)

L’Odos (l’orateur, le chanteur) (F) prononçait un discours, dans lequel il félicitait le nouveau Chistophoris sur son courage et sur sa résolution. Il l’invitait à persévérer car celui-ci n’é tait encore qu’à la moitié des travaux qu’il avait à subir pour fournir complètement ses preuves.

On lui présentait une coupe remplie d’une boisson très amère et qui s’appelait Cice (c’était vraisemblablement le même breuvage que celui qui portait le nom d’Athénée, liv. 9) : il fallait qu’il la vidât en entier.

On le revêtait de divers ornements. Il recevait le bouclier d’Isis, ou celui de Minerve ; on lui chaussait les brodequins d’Anubis (ou Mercure), et on le couvrait du manteau d’Orci, orné de son capuchon.

On lui ordonnait de se saisir d’un cimeterre qui lui était présenté, de trancher la tête d’un individu qu’il trouverait au fond d’une caverne peu éloignée où il allait pénétrer, et de l’apporter au Roi. Au même moment, chaque membre s’écriait : Niobe : voilà la caverne de l’ennemi.

En y entrant, il apercevait la figure d’une très belle femme. Elle était composée de peaux très fines ou de vessies, et si artistement faite, qu’elle semblait être vivante. Le nouveau Chistophoris s’en approchait, la prenait par les cheveux et lui tranchait la tête qu’il présentait au Roi et au Demiourgos.

Après avoir applaudi à son action héroïque, ils lui annonçaient que c’était la tête de la Gorgo (Gorgo, Gorgal et Gorgone, sont les noms égyptiens de Méduse), épouse de Typhon, qu’il avait coupée, laquelle avait occasionné l’assassinat d’Osiris. On saisissait cette circonstance pour l’engager à être toujours le vengeur du mal. Il recevait ensuite l’autorisation de revêtir de nouveaux habits qu’on lui présentait. Son nom était inscrit dans un livre où se trouvaient ceux de tous les juges du pays. Il jouissait d’un commerce libre avec le Roi et recevait sa nourriture journalière de la cour (Diodore de Sicile, Liv. 1, de Judiciis Ægyptiorum). On lui remettait avec le code des lois une décoration qu’il ne pouvait porter qu’à la réception d’un Chistophoris, ou seulement dans la ville de Saïs. Elle représentait Isis, ou Minerve, sous la forme d’un hibou. Cette allégorie lui était ainsi expliquée : « L’homme, à sa naissance, est aveugle comme le hibou, et il ne devient homme qu’à l’aide de l’expérience et des lumières de la philosophie. » Le casque signifiait le plus haut degré de la sagesse ; la tête de Gorgo coupée, la répression des passions ; le bouclier, la légitime défense contre la calomnie ; la colonne, la fermeté ; la cruche d’eau, la soif des sciences ; le carquois garni de flèches, le pouvoir de l’éloquence ; la pique, la persuasion portée au loin, c’est-à-dire que, par sa réputation, on peut à de grandes distances faire une impression profonde ; les branches de palmier et d’olivier étaient les symboles de la paix (Grand Cabinet romain, p. 26). On lui apprenait, de plus, que le nom du grand législateur était Jao (Diod. de Sicile, Liv. 1, De Ægyptiis legum latoribus).

Ce nom était aussi le mot d’ordre du grade.

Les membres de cette assemblée avaient quelquefois des réunions où des Chistophoris seuls pouvaient être admis.

Le chapitre qu’ils formaient alors s’appelait Pixon

Les ornements du quatrième grade puisent abondamment dans la mythologie classique. Qu’il s’agisse du bouclier, du casque, des brodequins de Mercure ou du manteau, chacun des éléments contribuait à établir un lien spirituel avec la tradition antique puisant ainsi aux sources de la culture méditerranéenne.

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Plus sur le sujet :

Le Crata Repoa 1 traduit de l’allemand par le Frère Bailleul. Bailleul éditeur, Paris 1821.

Image par Albert Dezetter de Pixabay

Notes

[1] Porphyre, Vie de Pythagore

[2] Hérodote, liv.2 – Clément d’Alexandrie, Scromat. 1

[3] Légumes et poissons.

[4] Jamblique, De Mysteriis. Pausanias, Liv. I, raconte très expressément que ces colonnes se trouvaient dans certains souterrains prés de Thébes.

[5] L’Introducteur. Les terminaisons des noms en us sont ici, pour la plupart changées en es et en os, suivant le dialecte égyptien.

[6] Apulée, de Metam., liv. II.

[7] Cicéron, De Legibus, liv. 2, Mysteriis ex agresti imanique vita esculti ad humanitatem, et mitigati sumus.

[8] Voyez l’explication d’une pyramide d’Égypte, où cette action est figurée d’après nature.

[9] Plutarque, in Lacon. Apoph., verb. Lysander.

[10] Histoire du ciel, tome I, page 44.

[11] Eusébe Caesar. Preparat. Evangel. – Clément d’Alexandrie, Admonit. ad Gent.

[12] Alexander ab Alexandro, liv. 5, chap. 10.

[13] Eusébe, Demonst. Evang., liv. I.

[14] Origéne, Cont. Cels., page 34, traduction de Bouchereau.

[15] Eusèbe, Preparat. Evangel., 1-13. – Clément d’Alexand, Admonit. ad Gent.

[16] Jamblique, Vie de Pythagore.

[17] Plutarque, Isis et d’Osiris.

[18] Jamblique, Vie de Pythagore.

[30] L’empereur Commode, remplissant un jour cet emploi, s’en acquitta d’une manière tellement sérieuse qu’elle devint tragique.

[4] Jamblique, De Mysteriis. Pausanias, Liv. I, raconte très expressément que ces colonnes se trouvaient dans certains souterrains prés de Thèbes.

[19] Annobius, Liv. 5.

[20] Endimion signifie Grotte imitée.

[21] Julius Firmicus Maternus, chap. 2, dit que c’était un serpent artificiel et doré.

[22] Les Égyptiens possèdent encore l’art de priver les serpents de leur venin.

[23] On trouve de pareilles représentations dans le grand Cabinet romain, p. 94.

[24] Clém. d’Alex., in Protept., dit quelque chose de semblable.

[25] On en trouve encore quelques dessins dans l’ouvrage de M. Norden.

[26] Ceux qui ouvraient les cadavres.

[27] Les hommes sacrés qui les embaumaient.

[28] Gens qui enterraient les morts.

[29] Tertullien, De Baptismo, chap.5.

[30] L’empereur Commode, remplissant un jour cet emploi, s’en acquitta d’une manière tellement sérieuse qu’elle devint tragique.

[31] Apulée, Liv. Metam. 2, propè finem.

[32] Diodore de Sicile, Liv. I. V. Orpheus.

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