Adam ha Adam par Cédric de Villers. 

Intrigué par les changements de noms dans la Bible, je me suis demandé pourquoi Avram, Abram, devient Avraham, Abraham ; Saraï devient Sarah, Adam devient Ha Adam – le Adam, pourquoi il est écrit « jour le sixième » et non pas « sixième jour », « au jour le septième » et non pas « septième jour ».

ADAM / LE ADAM / HA ADAM

Quel peut bien être le sens de ce Hé ה, la 5ème lettre de l’alphabeth hébraïque, cet article Le, La, Les, apparemment banal, dont nombre de traductions ne tiennent aucun compte, alors que ce Hé, figure deux fois dans le Tétragramme Sacré ; c’est dire l’importance de ce Hé !

Le Tétragramme, יהוה, dont les quatre lettres sont : le Yod, le Hé, le Vav et le Hé, c’est le Nom divin qui s’épelle, mais qui ne se prononce pas. Ces deux Hé du Tétragramme sont comme les poumons du souffle divin ; ils nous animent du souffle divin.

En hébreu, la lettre Hé symbolise le souffle, le souffle de vie. Cette lettre a une valeur numérique 5, cinq, comme les cinq doigts de la main. Les deux mains font dix doigts ; or, la valeur numérique 10 en hébreu, est représentée par la lettre Yod. Le sens de cette lettre Yod en hébreu, est précisément « la main »

Yad ; c’est la main qui fait, qui façonne, qui nous fait, qui nous façonne.

Pour comprendre le sens de ce Hé, il faudrait l’illustrer par le savoir-faire, le savoir-façonner de l’artiste qui de ses dix doigts, insuffle un esprit, une âme, un souffle à son œuvre. Dans Isaïe Chapitre 64, Verset 7, ce thème est repris par ces mots : « Nous sommes l’argile et Tu es le potier. Nous sommes tous l’ouvrage de Tes mains ». C’est l’œuvre divine, animée du souffle de l’Esprit. Ne soyez pas surpris par la traduction des versets cités qui vont suivre. Ils se veulent le plus proche possible du sens hébreu de la lettre.

Le verset de la Genèse, Chapitre 1, verset 25 nous dit : «Et fait Élohim, le vivant de la terre « Eretz » selon son espèce, et le bétail selon son espèce, et chaque rampant de la terre « Ha Adamah » selon son espèce. Et D. voit que c’est bon ».

Élohim fait le vivant, donc D. fait Adam avec de la terre ; en hébreu : « Ha Adamah ».

Dans ce mot « terre » , « Ha Adamah », on entend « Adam ». Si l’on prend deux lettres de « Adam », le Aleph א et le Daleth ד, la 1ère et la 4ème lettre de l’alphabet hébreu, le A et le D de notre alphabet, on obtient le mot « Ed », qui en hébreu veut dire : la vapeur, l’humidité.

Adam ha Adam EzoOccult

La terre dont est façonné Adam, est donc une terre humide, différente de la terre de la création Eretz, qui est une terre sèche. Cette terre sèche Eretz et qui peut se traduire par « le sec », a besoin de l’eau d’en-haut pour être fertile, tandis que la Ha Adamah, la terre glaise, contient son eau propre, c-à-d. sa propre fertilité.

Une terre sèche n’a pas de plasticité, mais quand elle est humidifiée, elle devient façonnable. Cette terre, dont Adam est façonné, contient son germe de vie. Adam avant d’être Ha Adam, n’était que le terreux, le glèbeux, l’homme de la terre rouge, terre ou pierre que notre langage a conservé sous le nom d’Adamanite, ou Edomnite, sorte de pierre rouge semi-précieuse. C’est dans cet état de « terreux » qu’Adam reçoit le Hé, le souffle divin insufflé dans ses narines.

Adam, c’est l’homme à l’état brut, sans initiative, sans autonomie ; c’est l’homme inaccompli, infécond tout comme Avram et Saraï avant de recevoir le Hé, le souffle.

Quand un être n’a pas de nom, il n’existe pas, il n’a pas d’identité. Quand il change de nom, il change d’identité, il entre dans un autre devenir. Adam, en recevant le souffle, devient Ha Adam, il reçoit le Hé et Le Adam devient une terre prête à être cultivée pour qu’elle produise du fruit. « Produire du fruit », voilà ce à quoi il est appelé, c’est son autre devenir.

Cette notion d’inaccompli se retrouve dans la conjugaison hébraïque – qui ne reconnaît pas notre concept de la ligne du temps ; venant du passé et allant vers le futur, elle se déplace constamment, de moments présents en moments présents.

L’hébreu ne voit que deux aspects : « l’accompli et l’inaccompli ».

C’est une notion assez étrangère à notre culture, mais la nature peut nous aider à la cerner, comme nous allons tenter de le voir.

Pour tenter d’expliquer la notion « d’accompli et d’inaccompli », prenons le gland comme exemple. Ce fruit contient déjà en lui le chêne – En tant que fruit, il est accompli – En tant que chêne, il est inaccompli. Son destin est de devenir le chêne. C’est la conscience que l’hébreu a, de ces aspects de la vie : « accompli et inaccompli », et qui apparaissent dans leur conjugaison.

Adam est comme le gland, il est capable de « devenir », capable de tous les « devenir ».

En recevant le souffle du Hé, il reçoit le feu vert pour réaliser la promesse qui est en lui .

Il est inaccompli… en voie d’accomplissement.

Mais revenons à l’image du gland. Il peut devenir chêne, mais si une fois devenu chêne, on le considérait comme accompli, il n’y aurait bientôt plus de chênes.

En réalité, il doit devenir chêne pour fructifier sans fin.

Cet exemple appliqué à l’humain, peut être interprété dans le sens des générations qui se succèdent, «Yalad », « ילד », « Engendrer, Produire ». C’est le thème du verset 29, au chapitre 1. de la Genèse. Lire ce verset !

Dans notre mentalité occidentale, « accomplissement » signifie souvent « finalité » ; l’atteindre est un but en soi, un aboutissement… on arrive au bout.

Dans la tradition biblique, « l’accomplissement » n’est que l’échelon d’une échelle – le maillon d’une chaîne – le but n’est pas une fin en soi. On pourrait même dire que le but serait : « de ne pas y arriver ! ».

Derrière un accomplissement, il y a déjà un inaccompli, qui nous attend pour un autre accomplissement, et ainsi de suite…

Saint Exupéry serait d’accord, lui qui a écrit : « L’important c’est d’aller vers et non d’être arrivé ».

Dans Genèse 1, 26. il est écrit : « Et dit Élohim, faisons ( qui est un pluriel) Adam dans notre image (à nous : pluriel), comme dans notre ressemblance (à nous : pluriel) ».

On peut se poser la question « pourquoi ? » utilise-t-on « faisons » qui est un pluriel. C’est probablement, parce qu’Élohim et Adam ne sont pas encore séparés, Adam n’est pas encore autonome. Il est Adam et non pas encore Le Adam.

C’est au verset 27 que l’on va trouver pour la première fois « Le Adam » au lieu de « Adam ». C’est là qu’il advient à sa propre identité, qu’il reçoit son autonomie.

Lisons ce verset dans Genèse 1, 27 où il est écrit : « Élohim crée avec Le Adam, dans son image Il crée lui, dans l’image d’Élohim, mâle et femelle, Il les crée eux ».

Essayons d’approfondir le sens de ce nom qui lui est donné pour la première fois.

Le texte hébreu nous montre que Ha Adam est relié par un trait d’union au petit mot « Et » (qui ne se traduit pas). Le trait d’union n’en fait qu’un seul mot. Le nom qu’il reçoit est alors « Et- Ha Adam ».

‘èt’ en hébreu, s’écrit avec deux lettres qui sont aleph א et tav ת, la première et la dernière lettre de l’alphabet hébraïque, le principe et la fin. Au principe, ‘Adam’ et à la fin ‘Le Adam’. Ce qui voudrait dire que Le Adam créé mâle et femelle, devient ‘Le Adam’ du principe et de la fin. C’est l’homme de tous les temps et de tous les lieux, il est l’humanité entière et chacune – chacun de nous en particulier.

Ceci me fait penser évidemment à ce passage de l’Apocalypse de Jean 1,8: « Je suis l’Alpha et l’Oméga », dit le Seigneur Dieu, « Il est, Il était et Il vient », le Maître-de-tout. Il est le Principe et la Fin, Lui qui est aussi le nouvel Adam.

Toujours dans le même verset 1,27, ‘mâle’, en hébreu c’est : ‘Zakar’ qui veut dire : ‘être mâle’ mais aussi ‘se souvenir’, c’est le même mot. Le Adam, mâle et femelle, est capable de se souvenir de cette partie féminine de lui-même, qui lui permettra de s’accomplir, quand Eve sera mise en face de lui. Le Adam est prêt à sa fécondité intérieure ; cependant, rien n’est encore accompli de cette image, elle est encore en devenir. Le Adam est encore toujours confondu avec l’animal. Il n’a pas encore pris conscience de son autonomie ni de son identité divine. Dans les lettres mêmes du mot Ha Adam s’inscrit son identité divine. Adam commence et finit par les mêmes lettres que le Nom d’Élohim, le aleph et le mèm. Ceci pour nous rappeler que nous sommes d’essence divine.

Ces deux lettres, aleph et Mem final, forment également le mot « Mère » ém en hébreu, ce qui nous rappelle que femmes et hommes, nous sommes tous concernés par cette maternité intérieure, inscrite dans Le Adam. Dans sa qualité d’image de D., Adam me révèle que je suis de race divine et capable de fécondité.

Dans le mâle qu’il est, je lis ma fonction mâle (celle de me souvenir), qui consiste à pénétrer en moi-même, à me souvenir de la femelle que je suis. Dans la femelle qu’est Le Adam, je vois aussi le dépôt sacré que D. met au creux de mon ventre, le germe d’Élohim. Germe d’Élohim par le Aleph et le Mèm , mais aussi par le Hé , le souffle de D., lettre également contenue dans le nom divin Élohim et reçue sous la forme du Hé de Ha Adam, Le Adam. Il est totalement autre qu’Élohim, mais il est cependant lourd de Lui, par les trois lettres : Aleph, Mèm, Hé qui forment en hébreu le mot Ammah et qui veut dire en français : mesure, coudée, colonne, fondement. On peut dire alors que Le Adam a reçu le fondement divin, par ces trois lettres reçues du Nom d’Élohim, qu’il en a reçu le poids et la mesure.

Dans genèse 1, 28, il est écrit « Et bénit ‘ eux ‘ Élohim, et dit à ‘ eux ‘ Élohim : ‘ Croissez et multipliez et remplissez la terre sèche Eretz…

C’est la première fois que D. s’adresse à l’homme.

Ici, il faut comprendre que ce eux pluriel, c’est Le Adam mâle, qui se souvient qu’il est aussi femelle, « Zakar Ounequévah ».

Le Adam est en devenir, il reçoit le souffle de vie, le jour le sixième.

Dans le récit de la création, il y a le jour Un (jour de l’unique), deuxième jour, troisième jour, quatrième jour, cinquième jour, jour le sixième et Au jour le septième.

Dans Genèse 1 au verset 31 il est écrit : « Et voit Élohim tout ce qu’Il a fait et voici accompli le très bon . Il est un soir, il est un matin, jour le sixième ».

Ici, encore une fois, au verset de Genèse 1, 31 ce Hé du jour ‘Le’ sixième, en hébreu Yom Hach-chich-chi , attire notre attention sur la particularité de ce jour, tout comme l’insistance sur le fait que ce jour Le sixième est considéré comme très bon, excessivement bon, à la différence des autres jours qui sont simplement bons.

Tov Méod en hébreu, Tov : bon, beau et Méod : très, fort, excessivement . Signalons au passage que Méod écrit des trois lettres Mem, Aleph et Dalet, est l’anagramme de Adam écrit Aleph, Dalet et Mem.

L’homme doit émerger à la conscience de sa personne, en découvrant en lui l’image divine, Le Adam du jour le sixième doit encore libérer son énergie. Ce n’est qu’au jour le septième que D. le lui accordera, en se retirant, pour lui permettre un devenir, afin qu’il fasse grandir en lui le noyau divin.

Ceci adviendra « Au jour le septième », « Hach-chevî-î », jour où D. se retire, le Shabbat.

Si grandiose que soit le « jour le sixième », jour de Le Adam, jour qui couronne la totalité du créé, en celui qui est « image de D. », rien n’est encore fait de cette image. Le Adam est encore inconscient, il est encore confondu avec l’âme animale.

Le chapitre II de la Genèse, nous montre le cheminement de ce devenir.

Jusqu’alors, rien n’a émergé de la personne de Le Adam, aucune conscience. Le Adam passe du « jour le sixième », au « jour le septième » de son être. Il devient « Conscient ».

À l’image de la graine mise en terre dont l’enveloppe se décompose en hiver pour qu’elle puisse germer au printemps, son inconscience doit mourir, pour renaître à la conscience de son germe divin.

Voyons ce qui est écrit à propos du jour « le septième » dans une traduction proche de l’hébreu :

1. Et sont achevés les cieux et la terre et toute leur puissance..

2. Il achève, Élohim, dans le jour le septième, l’œuvre qu’Il a faite, et Il se retire au jour le septième, de toute l’œuvre qu’Il a faite.

3. Il bénit, Élohim, le jour le septième, Il le sanctifie, car en Lui, Il se retire de toute son œuvre, qu’Il crée Élohim, pour faire.

4. Ceux-ci sont les engendrements des cieux et de la terre, dans leur « étant créé », au jour où Adonaï Élohim YHWY fait terre et cieux.

Genèse II, les versets 1 à 4 :

C’est ici qu’apparaît pour la première fois dans le récit de la création, le Tétragramme YHWH. C’est ce qui différencie le récit élohiste du récit yavhiste de la création.

Habituellement, la traduction du verset 2, au chapitre 2 de la Genèse, parle du fait que D. « se repose » de sa création. Cependant, la traduction « se retire » conviendrait mieux . Dans le récit de la création, D. dit , D. crée, D. fait. Au jour le septième, D. se tait, Il se retire.

Nulle part, il est dit que D. était fatigué pour qu’Il se repose. Il se tait pour que Le Adam puisse entendre Sa réponse. L’idée de repos n’est qu’une adaptation confortable que l’homme aurait donnée.

Adonaï Élohim se met en retrait, pour que Le Adam grandisse dans sa conscience, son autonomie. Il s’efface pour que Le Adam puisse être, qu’il fasse grandir le noyau qu’il est, jusqu’à ce qu’il devienne « Fils ». Germe et Fils en hébreu, c’est le même mot « Bar ».

Dans notre apprentissage de la vie, nos parents nous poussent à l’autonomie en nous amenant à faire des choix et pour ce faire, ils se retirent pour que nous puissions voler de nos propres ailes.

Il faut de la place pour que l’homme grandisse et Il nous fait place.

D. se retire pour que l’homme ressente le besoin de l’appeler. Si la Présence divine était permanente, l’homme ne ressentirait pas la nécessité de chercher D.

Quand on songe que Le Créateur est infini et qu’Il remplit tout, on comprend mieux que toute idée de création eût été impossible, sans ce retrait. Le Zohar « Le livre de la Splendeur » appelle ce retrait : le Tsimtsoum.

Comment en effet, remplir d’eau une coupe déjà pleine jusqu’au bord? La Lumière de D. est d’une telle pureté, d’un tel éclat, qu’elle éclipse tout. Cette Lumière est tellement intense, tellement envahissante, qu’il n’y a plus de place pour le devenir de Le Adam. Le retrait de D., le tsimtsoum, est comme une respiration. D. se retire et se répand sans cesse pour donner une place à Le Adam. Ce mouvement n’est pas statique, il est dynamique.

D. étant tout, Il n’est en rien diminué par son retrait, le tsimtsoum ; c’est comme un resserrement.

D. en se retirant en Lui-même, laisse un espace libre et ramène l’homme au cœur de sa création, au cœur de la vie.

Élohim se retire, afin que l’homme lui soit disponible. D. reprend haleine, Il se retire pour souffler ; Il retient son souffle.

L’infini se retire en Lui-même, pour devenir « séparé », en hébreu : « Naschov ».

Il laisse un espace libre et crée de ce fait, un manque par son absence. Il suscite un désir de Le chercher.

Dans le domaine des arts, quand une perfection est atteinte, le retrait s’impose.

L’artiste laisse son œuvre accessible à la contemplation.

Au jour le sixième, le Créateur atteint la perfection, Il voit que son œuvre est très bonne.

C’est dans le regard de Le Adam sur l’œuvre de son Créateur, que celle-ci se perpétuera.

Il se retire pour que ne subsiste que son œuvre.

Il fait Shabbat, pour que sa création aille vers son accomplissement.

C’est comme si le Créateur nous confiait : « Je me retire et Je te confie mon œuvre, afin que tu puisses entrer dans le mystère de ton origine ».

Une présence permanente ne permettrait pas à l’homme, la recherche de qui est son Créateur.

Tout au long des récits de la Bible, l’homme pose les questions « Qui ? », « Quoi ? », « Mi ? », « Ma ? », en hébreu. C’est de la question « Ma ? », « Quoi ? », que vient le mot « manne », cette nourriture céleste. Ce questionnement « Man ? », serait-il une nourriture ?

Est-ce à dire que les hommes pourraient se nourrir de questions ?

Le désir de chercher D., n’est-il pas une nourriture ?

Nous mangeons du « Quoi ? » du « Qui ? ». Nous nous nourrissons de la recherche.

Cette approche de l’Écriture, ne vous est probablement pas familière, peut-être que cela vous semble compliqué ? J’ai cependant la conviction que cette approche peut nous permettre de découvrir ce qu’il y a derrière la lettre, derrière l’opacité de l’encre, soulevant un voile sur le mystère de mon origine divine.

Ces quelques clés, j’espère vous les avoir transmises, pour susciter en vous le désir de lire les Écritures différemment, en vous posant des questions et entrer dans une autre dimension de compréhension des textes de la Bible.

Mon désir est de vous avoir fait partager une démarche qui m’est chère, car toute recherche qui participe à faire descendre la Sainteté ici-bas, aide à manifester la « présence divine », « la Schékinah », en hébreu.

C’est ainsi que ce Hé, cet article : Le, La, Les, ce Hé, souffle de vie, qui transforme « Adam » en « Le Adam », qui transforme Abram et Saraï en Abraham et Sarah, qui accentue l’importance du « jour le sixième » et « au jour le septième », ce Hé qui participe doublement au Nom divin, « Yod, Hé, Vav, Hé », prend une importance insoupçonnable au premier abord; elle est imperceptible dans une lecture banale sans questionnement, dans une lecture d’un texte, traduit sans respect de la lettre.

Puissent quelques-unes, quelques-uns, avoir été séduits par cette approche pour le moins inhabituelle, mais qui pourrait nous aider, à nous nourrir de questions.

Plus sur le sujet :

Adam ha Adam, Cirdec.

Image par Andres Nassar de Pixabay

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