L’Occultisme Contemporain par Papus.

Note : nous vous présentons ici un extrait de l’ouvrage de Papus “L’Occultisme Contemporain” publié à Paris en 1887. Critique de la science matérialiste et défense de l’occultisme comme voie scientifique ? A vous de juger… S.F.

Préface

Donner aux Enfants de la veuve d’après les conseils de leur auteur sacré Ragon aux kabbalistes et aux Théosophistes une bibliographie qui leur permette d’étendre le domaine de leurs connaissances, fournir aux critiques le moyen de savoir ce dont ils parlent, ce qui ne leur arrive pas toujours, remettre en lumière des savants injustement ignorés comme, Louis Lucas ou Hoëne Wronski, enfin montrer à tous la réaction anti-matérialiste qui se produit en ce moment, telles sont les fins que je me propose en publiant ce petit traité. Je compte qu’il sera lu par tous ceux qui pensent, ce sera ma plus belle récompense.

Autant que possible de nombreux renvois prouvent ce, que j’avance et je ne regrette qu’une chose, c’est que le cadre trop étroit de ce traité ne m’ait pas permis de faire autant de citations que je l’aurais désiré. De toute façon j’offre au public le fruit d’un long et difficile travail et non le produit d’une imagination plus ou moins fertile.

PAPUS. Juin 1887.

Première Partie

Introduction

Il n’est pas aujourd’hui d’homme vraiment instruit qui ne sache que la science ne repose sur aucun fondement stable.

Quel rapport établir entre l’attraction universelle, la cohésion, l’affinité et l’attraction moléculaire, alors que les lois ne sont plus identiques pour toutes les forces ? La loi du carré est trop faible pour expliquer l’attraction moléculaire et la loi du cube est trop forte.

Quelle confiance accorder aux théories chimiques, en apparences solides que l’isomérie est venue contredire. Que croire des affirmations contemporaines, après les travaux chimiques de Louis Lucas [voir Chimie naturelle, de Louis Lucas Paris, 1854 in 8°] ?

Enfin que dire des médecins qui se vantent avec orgueil de ne pas étudier la vie autrement que par ses effets ? Est-ce en essayant de rebâtir les murailles d’une ville, à mesure que l’artillerie ennemie les abat, ou bien en faisant taire cette artillerie qu’on protège les citoyens ? Vous aurez beau reconstruire, le canon détruira toujours, médecins vous aurez beau traiter les symptômes, la cause de la maladie qui nous est inconnue agira toujours.

On a voulu faire une science des faits, et les faits sont venus détruire les données admises [voir Les bulletins de la société de psychologie, physiologique de Paris, 1885 et 1886]. Devant ces contradictions multiples, les chercheurs consciencieux se sont demandés s’il n’existait pas une autre science.

C’est alors qu’ils ont entrevu, à travers les âges, une science toujours la même et toujours soigneusement cachée, aussi riche en idées que la nôtre était riche en faits : c’est la science occulte.

Courageusement ils se sont lancés en avant, mais bientôt les déceptions sont venues abattre la plupart d’entre eux. Comment deviner ce qui se cachait derrière cet amas de termes obscurs, de hiéroglyphes bizarres et de recettes faussées à dessein. Peu ont poursuivi l’étude, les autres se sont remis à étudier la science de leur temps. C’est qu’elle est bien belle malgré tout, l’induction magnifique qui procède à l’établissement de nos connaissances contemporaines. Que nous importe d’abandonner l’étude des principes généraux quand les détails révélés par l’expérience viennent jeter de si vives lumières sur chaque branche de notre savoir. Nous avons construit à la face du ciel un monument dont chaque pierre a été travaillée par nos meilleurs esprits, disent les savants, que nous importe de n’en pas connaître les bases. Mais cet inconnu sur lequel vous avez bâti fera un jour crouler votre monument, disent les occultistes, et d’autres viendront mettre sur ses bases solides les pierres qui vous ont donné tant de mal.

Laissant à ceux qui fouillent les détails la considération et les honneurs, les audacieux ont poursuivi la route. Après un travail assidu les symboles ont commencé à parler, les chercheurs ont vu la science de toutes les époques apparaître au milieu des mots incompréhensibles aux profanes, ils ont deviné derrière une pense toute une autre époque plus instruite que la nôtre [voir Louis Lucas, Le Roman alchimique et Saint-Yves d’Alveydre, Missions des juifs].

Enfin l’alliance des découvertes modernes et de la science occulte dans l’éternelle vérité s’est laissé entrevoir aux vrais chercheurs et la synthèse s’est manifestée à leur esprit [voyez les travaux de Lucas ; Wronski, Lacuria et Eliphas Lévi].

C’est alors qu’ils se sont tournés vers leur collègue de jadis pour le prier d’unir ses découvertes à leurs idées. Mais l’homme n’est plus le même, il a vieilli dans une douce quiétude, flatté par ses contemporains, malheur à celui qui s’est dévoyé, à celui qui a méprisé l’étude du détail. Quand il vient offrir ses idées de synthèse il est traité d’utopiste, de songe creux, on ne veut même pas écouter ses rapports et quand, il n’est plus là le savant illustre se prend à jalouser celui qui a su lire dans le livre fermé pour lui et l’adepte meurt de misère [voir Wronski] ou de silence [voir Louis Lucas].

Tout cela est arrivé et peut-être n’est pas encore fini. Quand donc les hommes comprendront-ils que leur personnalité n’est rien dans la Vérité ? C’est quand le grain de blé pourri dans la terre semble mort pour jamais que la vie s’élance du chaos qui la renfermait et manifeste une plante ; c’est quand le successeur de Philippe le Bel se croit plus solidement établi sur le trône que jamais, que le successeur de Jacques B. Molay l’enferme dans le Temple et se venge. Toute action nécessite une réaction égale.

Des hommes vraiment instruits ont succombé sous le complot du silence, ils sont morts de misère et de faim, de leur supplice naîtront des écoles qui répandront partout la parole qu’on voulait cacher et quelque jour la renommée scientifique de quelques-uns s’effondrera sous le ridicule dont ils ont voulu couvrir ceux qui les gênaient.

C’est de tous ces inconnus d’hier et de demain que je veux parler aujourd’hui, de ceux qui luttent dans l’ombre pour la Science et non pour un titre ou un collier honorifique quelconque, des enfants à qui la Liberté a légué quelques-unes de ses volontés [Voyez le Testament de la Liberté d’Eliphas Lévi].

Mais je le répète encore, les occultistes n’ont traité particulièrement que le côté général, métaphysique de la nature [à l’exception cependant de Louis Lucas] tandis que les savants traitait le particulier.

Prise séparément pour tout expliquer, la métaphysique est aussi fausse que la physique. C’est en s’appuyant l’une sur l’autre seulement qu’elles peuvent donner naissance à la synthèse scientifique sociale et religieuse.

Deuxième partie

Le magnétisme, le spiritisme et les savants

Parler d’un mouvement contemporain n’est certes pas chose facile. Dès qu’un temps quelconque s’est écoulé depuis la production des faits, ils ont pu subir un commencement de classification, ce qui n’a pas lieu pour le sujet qui nous occupe.

Quelque attention que l’on fasse, il .est impossible de ne pas laisser échapper un livre, une personne ou une action importante. Aussi, je prie d’avance le lecteur de me pardonner les omissions ou les erreurs qui pourraient s’être glissées dans mon travail.

Dans le mouvement en faveur des sciences occultes qui s’est manifesté depuis 1848, plusieurs courants se sont établis.

Les uns, tout entiers aux découvertes pratiques de Mesmer, ne voient dans la science occulte que le magnétisme fluidique, d’autres, venus un peu plus tard, ne voient que manifestations d’intelligences appartenant ou ayant appartenu aux humains, d’autres enfin se sont élevés assez pour édifier une synthèse générale.

Les deux premiers seuls, magnétiseurs et spirites, se sont trouvés en lutte directe avec les savants ; les autres, retranchés dans le domaine de la théorie, ont échappé jusqu’ici à une polémique vraiment active.

Voyons d’abord les adversaires en présence :

D’un côté se trouvent des gens peu instruits, anciens ouvriers [Cahagnet], petits bourgeois [Ricard] ou officiers en retraite produisant des phénomènes à tort et à travers sans la moindre méthode scientifique, mais sûrs de l’existence du fluide mesmérien.

De l’autre, se trouvent les savants, hommes instruits, sceptiques à l’égard de ce qu’ils n’ont pas découvert, aussi nécessaires à l’inventeur que la résistance à la production de la force.

Comme le savant est le même, ou à peu prés, à toutes les époques, voyons la façon dont les juge un esprit élevé qui a été à même de les connaître et de les étudier : Goethe.

« Les questions scientifiques sont très souvent des questions d’existence. Une seule découverte peut faire la célébrité d’un homme et fonder sa fortune sociale. Voilà pourquoi règnent dans les sciences cette rudesse, cette opiniâtreté, cette ,jalousie des aperçus découverts par les autres. Dans l’empire du beau tout marche avec plus de douceur ; les pensées sont toutes plus ou moins une propriété innée, commune à tous les hommes ; le mérite est de savoir les mettre en oeuvre et il y a naturellement là moins de place pour la jalousie. Mais dans les sciences la forme n’est rien ; tout est dans l’aperçu découvert.

Il n’y à là presque rien de commun à tous ; des phénomènes qui renferment les lois de la nature sont devant nous comme des sphinx immobiles, fixes et muets ; chaque phénomène expliqué est une découverte, chaque découverte une propriété : Si on touche à une de ces propriétés, un homme accourt aussitôt avec toutes ses passions pour la défendre. Mais ce que les savants regardent aussi comme leur propriété, c’est ce qu’on leur a transmis et qu’ils ont appris à l’Université. Si quelqu’un arrive apportant du nouveau, il se met en opposition par là même avec le credo que depuis des années nous ressassons et répétons sans cesse aux autres et menace de renverser ce credo ; alors tous les intérêts et toutes les passions se soulèvent contre lui, et on cherche par torts les moyens possibles à étouffer sa voix.

On lutte contre lui comme on peut : on fait comme si on ne l’entendait pas, comme si on ne le comprenait pas ; on parle de lui avec dédain comme si ses idées ne valaient pas la peine d’être examinées et c’est ainsi qu’une vérité peut très longtemps attendre pour se frayer son chemin.« 

Goethe [Conversation, t. 1, p. 75, et Caro, La philosophie de Goethe, 2ème édition, 1880, p 81.].

Maintenant que nous connaissons chacun des deux adversaires, voyons-les en lutte.

Première période – Le magnétisme

A la suite des divulgations de Mesmer, divers centres de magnétiseurs s’étaient formés qui luttaient à coups d’expériences contre les académies. Celles-ci niaient dans leurs rapports tous les phénomènes produits par leurs adversaires en tant que dépendant d’un fluide spécial. Elles les mettaient sur le compte, de la naïveté et de l’imagination des adeptes.

Deleuze [voir Instruction pratique sur le magnétisme animal 1883] Du Potet [voir Magie dévoilée Saint-Germain, 1875], Puységur, Cahagnet [voir Magie magnétique], Ricard [voir Almanach du magnétiseur 1846], Charnel [voir Esquisse de la nature humaine, (recommandé spécialement aux occultistes)], luttaient dans le camp des magnétiseurs.

Il faut avouer que ces auteurs donnaient prise aux critiques des savants en publiant comme Cahagnet, des livres sur l’état de l’âme dans l’autre monde d’après les révélations de plusieurs somnambules extatiques.

C’était brusquer un peu les révélations. Quoi qu’il en soit, la lutte devenait d’autant plus vive que les gens du monde y avaient pris part et les salons étaient partagés en deux camps : les savants retranchés dans leur scepticisme et leur dédain, et les révolutionnaires de la science endormant à tort et à travers, guérissant les incurables, proclamant partout l’existence du fluide mesmérien et mettant sur la couverture de leurs livres des épigraphes dans le genre de celle-ci ; « Si les soi-disant savant refusent encore d’avaler la vérité que je proclame avec tant de persévérance, je finirai par la leur ingurgiter » [voir J. J. A. Ricard, Almanach du magnétiseur pratique, 1846].

Comme on le voit, l’accord n’était pas facile et les académiciens, piqués dans leur amour propre, faisaient la sourde oreille. L’infatigable, magnétiseur Ricard alla même jusqu’à en endormir quelques-uns [J. J. A. Ricard, Almanach du magnétiseur pratique, 1846], les autres prétendirent que c’étaient des compères !!

Toutefois les savants, sous l’influence des écrits de leurs adversaires invoquant tous la haute antiquité de leurs phénomènes, s’étaient mis a étudier quelques branches de ces fameuses sciences occultes.

Louis Figuier publiait une belle étude l’Alchimie et les Alchimistes 1856, dans laquelle il nie l’existence de la pierre philosophale en fournissant lui-même à son insu la preuve irréfutable de trois transmutations [voir La Pierre philosophale prouvée par les faits (PAPUS) n°3 du Lotus juin 1887]. A. Franck publiait un remarquable travail sur la Kabbale [voir A. Franck, La Kabbale, Paris, 1863, in 8], à laquelle il ne comprend rien, pas plus que Figuier à l’Alchimie, faute de connaissances spéciales suffisantes.

En même temps, on étudiait les mystiques d’où semblaient provenir les idées philosophiques des Adeptes.

La critique s’exerçait sur Claude de Saint-Martin [je recommande aux occultistes la lecture du Crocodile, de Saint-Martin paru l’an 2 de la République], le « Philosophe inconnu », dont les idées avaient nourri deux des plus grands hommes de l’époque Balzac et Sainte-Beuve.

Successivement parurent la Réflexion sur les idées de Louis-Claude de Saint-Martin de Moreau 1850, l’Etude sur la philosophie mystique en France et sur Saint-Martin et Martinez Pasqualis, de A. Franck, membre de l’Institut, 1866, etc.

De toutes ces études et de l’existence de plus en plus évidente de la réalité des faits produits pas les magnétiseurs, les savants entraient peu à peu dans la voie de la conviction : mais leurs Paroles antérieures ne leur permettaient pas de s’avouer publiquement convaincus.

Sur ces entrefaites, arriva la guerre franco-allemande 1870 qui jeta quelques troubles dans les travaux des deux partis.

Deuxième période – L’hypnotisme

Après la guerre, les académies trouvèrent un sauveur dans la personne d’un docteur anglais, Braid. Celui-ci annonça au monde savant qu’il arrivait à produire la plupart des phénomènes invoqués par les magnétiseurs à l’appui de leurs doctrines, sans le moindre fluide, en fatiguant le regard par des procédés tout mécaniques. On désigna le nouveau procédé sous le nom d’hypnotisme, et les académies se mirent à étudier les phénomènes nouvellement produits par ses membres comme si le reste n’avait jamais existé.

Il faut avouer toutes que les études furent magistralement conduites comme toutes celles qui sont sérieusement entreprises par la science contemporaine. On retrouva un à un tous les faits précédemment découverts par les magnétiseurs ; mais en déterminant exactement le moyen et la durée de leur production et en établissant même une classification qui rendit, claire et simple l’énorme nomenclature des phénomène produits sans ordre et sans méthode par les premiers magnétiseurs.

Toutefois, les physiologistes et les médecins qui poursuivaient cette étude, et qui la poursuivent encore, étaient trop matérialistes pour entrer dans les vues théoriques des disciples de Mesmer.

Fiers de la production mécanique des phénomènes, ils niaient toute existence de fluides spéciaux quand un à un les faits produits par eux-mêmes, vinrent leur donner un démenti.

Aussitôt, deux écoles, se formèrent au sein des sociétés savantes : les uns niaient tous les phénomènes capables d’infirmer les doctrines matérialistes, les autres soutenaient énergiquement la possibilité de produire les phénomènes à distance et par suite l’existence, d’un agent impalpable et invisible transmetteur (Il faut lire les comptes-rendus de la Société d’Etudes de psychologie-physiologique de Paris et les disputes homériques de Richet et de ses collègues pour se rendre compte de l’acharnement qu’on montre des 2 côtés).

En somme, la même lutte ouverte autrefois par les magnétiseurs et les savants, et qui finit par la défaite de ces derniers, se reproduit aujourd’hui entre les partisans du fluide et ses détracteurs. Nous verrons bien qui l’emportera.

Troisième période – le spiritisme

Quelque temps après le magnétisme, une nouvelle doctrine apparaissait, qui bientôt allait suivre les mêmes phases que son aînée : C’était le spiritisme.

D’Amérique, la nouvelle venue se répandit en Angleterre, et de là en France, donnant naissance à une littérature spéciale et à une polémique aussi vive que le magnétisme.

Les principaux écrivains spirites furent en France Allan Kardec [Le livre des esprits 1862 et Le livre des médiums 1863], Auguez [Les manifestations des esprits 1857, Des Elus de l’avenir 1858], Esquiros, Delanne, Delaage [La dernière oeuvre de Delaage c’est La Science du Vrai 1885], etc.

Je recommande la lecture des ouvrages d’Auguez et de Delaage aux travailleurs consciencieux.

Auguez fournira des renseignements et une bibliographie sérieux. Delaage est un des modernes qui ont le plus travaillé à répandre l’initiation aux mystères antiques et nous devons l’en remercier particulièrement. Son livre est un résumé excellent en tous points.

Le spiritisme rencontra de nombreux détracteurs niant, sans vouloir les constater, tous les phénomènes. Mais bientôt les savants américains se déclarèrent convaincus, puis quelques savants anglais, entre autres, Croockes, et enfin, malgré le traitement prescrit par la médecine pour les spirites qui sont considérés comme des hallucinés [voir l’article “Spiritisme” de l’Encyclopédie des Sciences Médicales de Dechambre], un ancien interne des hôpitaux de Paris, Préparateur au Muséum, le docteur Paul Gibier, vient de publier un livre dans lequel il se déclare con vaincu.

Il révèle en même temps l’existence très ancienne de tous ces phénomènes dans l’Inde [voir Le spiritisme par le docteur Paul Gibier, Paris 1887 in 18].

Il faut voir l’article de critique consacré à Paul Gibier et à son livre dans la Revue scientifique pour comprendre la rage sourde des corps savants devant ces phénomènes.

Ne pouvant mettre en doute la sincérité des expériences irréfutables du savant anglais Crookes, la critique s’attaque à celles de Gibier qui, je crois, a eu tort de les publier. Elle le blâme de vouloir former une société pour l’étude des phénomènes et avoue que des savants s’en occupent en secret.

M. Gibier appelle de ses voeux la formation d’une société pour étudier cette nouvelle branche de la physiologie psychologique et paraît croire qu’il est chez nous le seul, sinon le premier, parmi les savants compétents, à s’intéresser à cette question. Que M. Gibier se rassure et soit satisfait.

Un certain nombre de chercheurs très compétents, ceux mêmes qui ont commencé par le commencement et ont déjà mis un certain ordre dans le fouillis du surnaturel, s’occupent de cette question et continuent leur ouvre… sans en entretenir le public.” – Revue scientifique 13 Novembre 1886 N°20 pages 631 et 632.

Si jamais cette assertion était confirmée, cela jetterait un singulier jour sur les procédés de ceux. qui pratiquent ces études expérimentales. Il me semblait pourtant que la divulgation était à l’ordre du jour ?

Plus sur le sujet :

L’Occultisme Contemporain par Papus, 1887.

Image par Gerd Altmann de Pixabay

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