Les principes Mystiques de l’Hermétisme et de la Rose-Croix

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Les principes Mystiques de l’Hermétisme et de la Rose-Croix par Francis ROLT-WHEELER.

(Les lecteurs ne doivent pas oublier que l’occultisme est rigoureusement tenu en dehors de la politique et des questions ecclésiastiques. Seuls, quelques grands principes peuvent être admis).

L’ORDRE DE LA ROSE+CROIX a toujours existé et il n’a jamais existé. Dans ce paradoxe, littéralement exact, se trouve la vraie raison de toute la confusion qui existe parmi les profanes concernant la Rose+Croix. Il est aussi faux de tracer son origine depuis le Patriarche Énoch, avant le Déluge, que d’affirmer que la Fraternité fut fondée par un hypothétique « Christian Rosencreutz » dans le Quatorzième Siècle, ou de la restreindre à un groupement Allemand contemporain de la publication de la Fama Fraternitatis en 1614.

Ce qui est absolument certain est qu’il n’existe pas de nos jours, qu’il n’existait pas dans les siècles passés, ni dans le Moyen Âge, ni dans les âges classiques, ni dans l’antiquité, aucun Ordre ayant une continuité historique des temps anciens jusqu’aux temps modernes. Tout effort pour créer une ligne de succession, soit Hermétique, Maçonnique ou Rosicrucienne n’est qu’une tromperie, une invention, un mensonge ou une fraude.

Ce qui est également certain, en ce qui concerne la Rose+Croix, l’Hermétique, la Franc-Maçonnerie, etc., c’est que la base mystique qui fait la raison d’être de ces vastes courants de la pensée occidentale est une base immortelle. Elle puise sa force dans le courant encore plus vaste de l’Évolution Spirituelle de l’Humanité.

Cette base mystique n’est qu’une partie du développement constant de la puissance humaine spirituelle afin de purifier, élever et transmuer ce qui est encore trop égoïste ou trop matériel.

Dans ce travail, dirigé par les hauts plans, chaque courant de pensée, chaque Ordre, chaque Fraternité a son rôle à accomplir et fait son appel particulier. L’Hermétisme, en principe, est alchimique et Déiste ; la Franc-Maçonnerie, en principe, est syndicaliste et Théiste ; la Rose+Croix, est philosophique et Messianique.

Il sera utile de dire quelques mots sur ces trois différents courants initiatiques pour démontrer non seulement] la nature de leurs activités, mais aussi le caractère de leurs appels. Nous savons d’avance que de tels principes ne pourraient pas vivre de siècle en siècle, ne pourraient pas attirer les hommes les plus éclairés de chaque époque, ne pourraient pas se renouveler et s’incarner dans des fraternités successives, si ces principes ne possédaient pas, en eux-mêmes, des bases fondamentales faisant appel à la mentalité, à la solidarité, ou à la spiritualité de l’Humanité.

Le phénomène des sociétés initiatiques est donc double : la permanence de l’enseignement, de l’intermittence de l’organisation.

La Mysticité de l’Hermétisme. — La mentalité et ses pouvoirs, naturels et développés, forment l’élément dominant de l’enseignement Hermétique. Le but de ce courant de pensée est d’augmenter la puissance humaine sur les forces et les formes de la Nature par l’emploi de la raison et de la volonté. Elle est en rapport avec l’Évolution Spirituelle par la Voie de la Mentalité, non seulement dans l’homme, mais dans tout ce que l’homme peut influencer.

Nous pouvons voir le processus dans les Sept Principes Hermétiques :

1° Le principe du mentalisme : « Le Tout est Esprit ; l’Univers est Mental». Selon cette doctrine, le monde, ou l’univers phénoménal n’est qu’une simple Création Mentale du Tout, sujette aux Lois des Choses Créées. Comprendre ce grand principe Hermétique du Mentalisme permet à l’individu de saisir avec facilité les lois de l’Univers Mental, et d’ouvrir les portes du temple mental et psychique du savoir puis d’y pénétrer librement et intelligemment.

2° Le Principe de Correspondance : « Ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas, ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut ». Ce principe se manifeste et s’applique partout dans l’univers, sur les divers plans : matériel, mental et spirituel ; c’est une Loi Universelle. La connaissance du Principe de Correspondance permet à l’homme de déduire intelligemment l’Inconnu du Connu.

3° Le Principe de Vibration : « Rien ne repose ; tout remue, tout vibre ». Depuis le Tout, qui est l’Esprit Pur, tout vibre, et, comme dit le Kybalion, « plus grande est la vibration, plus haute est la position sur l’échelle ; la vibration de l’Esprit est tellement intense et si infiniment rapide qu’elle est pratiquement en repos ».

4° Le Principe de Polarité : « Tout est double ; tout a deux extrêmes ; les pôles opposés ont une nature identique, mais des degrés différents ; les extrêmes se touchent ». Les pôles peuvent être transformés, comme l’Amour et la Haine se transforment, le Bien et le Mal également. Une connaissance de l’Art de la Polarisation permet cette transmutation des degrés des choses semblables.

5° Le Principe de Rythme : « Toute chose a sa durée ; tout évolue, puis dégénère ; le balancement de pendule se manifeste en tout, le rythme est constant ». Pour agir sur une chose, il faut pouvoir déterminer à quel point elle est dans son cycle ; on n’obtiendra pas un succès en agissant en sens contraire d’une loi de la Naturel. On ne peut pas donner la sagesse à un enfant ni la croissance à un sexagénaire.

6° Le Principe de Cause et d’Effet : « Toute Cause a son Effet, tout Effet a sa Cause ; tout arrive conformément à la Loi, la Chance n’est qu’un nom donné à une Loi méconnue ». En connaissant les causes, les Hermétistes peuvent produire des effets qui semblent extraordinaires à ceux qui n’essaient que d’agir sur les effets ; même. L’objet est la compréhension de la Causalité Supérieure.

7° Le Principe de Genre : « Il y a un genre dans toutes choses, tout à ses principes Masculin et Féminin ; le genre se manifeste sur tous les plans ». Ce principe conduit à la compréhension de la Philosophie de la Création et de la Régénération Mentale et Spirituelle. Des parents ne peuvent pas créer un enfant neutre ; une régénération ne changera pas un garçon en fille. Une méconnaissance des lois de sexe conduira inévitablement à l’erreur.

Nous voyons clairement, dans ces sept principes, comment l’Hermétisme Mental et ses principes révèlent la transmutation alchimique dans ses deux caractères : mental et matériel.

Les principes Mystiques de l’Hermétisme et de la Rose-Croix
Les principes Mystiques de l’Hermétisme et de la Rose-Croix

La Mysticité de la Franc-Maçonnerie. — Le travail Hermétique, par son caractère mental, a toujours été poursuivi en secret et individuellement. Il en était tout autrement avec la Franc-Maçonnerie, qui fut dès le commencement, un travail de groupe.

En principe, la Franc-Maçonnerie s’adonnait à cinq buts : 1° une solidarité corporative, 2° une association sociale ; 3° une confraternité secrète ; 4° un corps d’enseignement réservé ; et 5° un ordre initiatique. Dans ses origines, elle était Déiste, mais nullement irréligieuse ; en faveur de la liberté, mais pas révolutionnaire ; fraternelle, mais opposée aux castes ; et initiatique sur des lignes modestes, sans essayer de pénétrer les Grands Mystères. À différentes périodes de son histoire et dans les différents pays, la Franc-Maçonnerie a accentué l’un ou l’autre. Parfois, les questions corporatives prirent trop de place et firent dévier l’Ordre de sa juste ligne.

N’appartenant pas personnellement à la Franc-Maçonnerie, nous nous occuperons seulement de son caractère mystique dans les divisions indiquées, laissant de côté toute question politique :

1° Une solidarité corporative. — La réorganisation de la Franc-Maçonnerie en 1717 ne doit pas être prise pour l’organisation d’un Ordre nouveau. Après la terminaison de la construction des cathédrales, il n’y avait aucune raison pour former subitement un Ordre Secret de Franc-Maçons. Cela existait depuis longtemps. La Maçonnerie fondamentale ne contient que les trois degrés : Apprenti, Compagnon et Maître-Maçon. Les symboles ont tous affaire avec l’art du travail sur la pierre, le symbolisme des rites est tourné dans le même sens. Ceci est en étroite correspondance avec les corporations du Moyen Âge. II ne faut pas perdre de vue que, de même que les Pyramides et le Sphinx étaient les dépositaires de la science initiatique de l’Égypte, que le Zeus de Phidias et le Parthénon immortalisèrent les secrets Grecs, ainsi les Cathédrales européennes du Moyen Âge conservent les mystères initiatiques occidentaux. Les constructeurs et les ouvriers des cathédrales formaient une corporation ou syndicat, très solidaire. Le syndicalisme est une des racines historiques de la Franc-Maçonnerie. Il ne faut pas s’étonner si cette tendance existe toujours.

2° Une association sociale. — Cette socialisation était l’élément le plus accentué dans la réorganisation de 1717, qui donna à la Franc-Maçonnerie sa forme moderne. Les périodes féodales étaient passées ; le feu de la Réformation Protestante s’éteignait ; on était au seuil du 18e siècle, le siècle du Déisme. Le pouvoir des rois, comme le pouvoir des papes, avait été ébranlé. On avait l’espoir dans le parlementarisme. James Anderson, un prédicateur presbytérien, fut chargé de préparer la nouvelle constitution de la Franc-Maçonnerie, laquelle était fortement démocratique, pour ne pas dire socialiste.

3° Une confraternité secrète. — On pourrait beaucoup parler sur ce sujet, facilement mécompris de nos jours, où le symbolisme a perdu son attrait. Le secret était justifié. Dans les temps où l’Église et le roi étaient tout-puissants, un ecclésiastique aurait trouvé hérétiques de nombreuses vérités connues de la corporation des constructeurs des cathédrales, pour la simple raison qu’il ne pouvait pas les comprendre. Un roi orgueilleux aurait trouvé séditieuses les idées démocratiques de cette « association », qui exigeait la liberté absolue de conscience. De plus, rien ne s’effrite plus facilement qu’une « association » et rien n’empêche cet effritement si bien que la possession d’un secret commun.

4° Un corps d’enseignement. — Il est difficile pour nous de réaliser cet élément dans les corporations d’autrefois, maintenant que l’enseignement est devenu universel et très spécialisé. Dans le Moyen Âge, l’astronomie, l’astrologie, la physique, la géométrie, les sciences naturelles et les mathématiques étaient nécessaires pour l’architecte et le constructeur. Dans un document Maçonnique écrit par le roi Henri VI d’Angleterre, dans le Quinzième Siècle, la musique, la poésie, la chimie, le gouvernement et la religion sont ajoutés aux arts et sciences nécessaires aux Maîtres-Maçons.

5° Un ordre initiatique. — L’initiation — parmi les autres facteurs — doit envisager l’élévation spirituelle à un plan supérieur, et l’établissement du contact avec des Êtres qui habitent ces plans.

Ceux de nous qui travaillent les questions initiatiques, de nos jours, savent que l’Initiation se fait hors de l’état normal, car l’ère est passée pour l’Initiation Terrestre. Cette dernière n’existe plus, sauf dans les cas très primitifs, tels que les initiations dans les tribus nègres de l’Afrique Équatoriale et Occidentale. Toute soi-disant « initiation » de nos jours, purement formelle appartient à une de ces catégories : 1° un symbolisme illustrant un enseignement ; 2° une imitation ; 3° un rite périmé ; 4° un truquage ; ou 5° un rite actuel, mais au-dessous du niveau de notre civilisation occidentale.

Il est possible que, pendant quelques périodes de son existence ou dans quelques pays la Franc-Maçonnerie se soit égarée dans la vulgaire politique, ou ne soit devenue qu’une simple société de bienfaisance ; de même que l’Hermétisme tomba dans les expériences de la transmutation des métaux ou se cantonna dans de simples groupements littéraires.

La Mysticité de la Rose+Croix. — De la manière dont on est justifié d’attacher les traditions des sociétés Hermétiques aux alchimistes du Moyen Âge, et les traditions de la Franc-Maçonnerie aux constructeurs de cathédrales, on attachera les traditions de la Rose+Croix au Militia Crucifera Evangelica, au cabbalisme chrétien de Khunrath, et au mysticisme de Dante. Il est essentiel de remarquer que ces trois sont Messianiques en caractère : le Militia — une secte Protestante — anticipait le Deuxième Retour du Christ ; le cabbalisme Chrétien appliquait la Rose de la Cabbale au Messie ; et la Rose de Dante est décrite comme la totalité de toutes les âmes que par le sang du Christ sont devenues son épouse (In forme dunque di candida fosa, Mi si mostrata la milizia santa, Che nel suo sangue Cristo fece sposa).

Pour établir une base de comparaison, il sera utile d’indiquer les principes de la Rose+Croix d’après la meilleure organisation appartenant à ce groupe : l’Ordre de la Croix d’Or et de la Rose+Croix. Cet Ordre était très actif à la fin du dix-huitième siècle, mais son origine est antérieure, car nous trouvons l’indication de son existence dans un manuscrit intitulé : Thesaurus Thesaurorum a Fraternitate Roseae et Aureae Crucis Testamento Consignatus et in Arcam foederis repostius suae Scholae Alumnis et electis Fratribus, anno MDLXXX (1580 après J.-C). L’année 1580 précède de quatre ans celle de la mort de Egidius Gutmann, et de huit ans celle de la mort de Valentin Weigei, et ces deux grands théosophes allemands appartenaient certainement à la lignée de la Rose+Croix ; probablement l’un ou l’autre fut l’auteur du Thesaurus.

Les degrés dans la Fraternité de la Croix d’Or et de la Rose+Croix étaient de neuf : 1° Fratres Zelatores, 2° Fratres Theoretici, 3° Fratres Practici, 4° Fratres Philosophici, 5° Adepti Minores, 6° Adepti Majores, 7° Adempti Exempti, 8° Magistri et 9° Magi.

Une grande partie de cet enseignement et de ces degrés se retrouve dans une Fraternité existant de nos jours, contenant trois Ordres superposés dont l’inférieur s’appelle l’Ordre de l’Aube d’Or (The Order of the Golden Dawn).

Ces grades ou degrés de l’Ordre de la Croix d’Or et de la Rose-Croix comportaient l’enseignement suivant :

1° Les Frères Zélés : « Le candidat doit être intelligent, sincère, un chercheur de la paix et de la sagesse, ayant la vertu d’écouter l’instruction ; il doit se préparer à se libérer des idées illusoires ; il doit accepter la probabilité qu’il ne deviendra jamais riche ; il doit travailler à vivifier son esprit et s’adonner à apprendre les théories de la sagesse avec la ferme intention de les mettre en pratique » ;

2° Les Frères Théoriciens : Dans ce degré, le Frère Rose+Croix avait à se familiariser avec toute la théorie de l’Alchimie et de la Cosmologie Hermétique. Le symbole était celui du cercle quadruple, comme dans le degré de Rose+Croix Maçonnique ;

3° Les Frères Praticiens : Ayant appris la théorie de l’Alchimie et quelques éléments de la pratique, le Frère admis Praticien avait droit à une place dans le laboratoire alchimique commun appartenant à l’Ordre. Il ne semble pas que tous les frères soient devenus des alchimistes pratiquants, car ce grade servait comme triage ; celui qui avait l’esprit philosophique ne restait pas longtemps un Praticien ;

4° Les Frères Philosophiques : Le travail de ce degré était ardu. Le Frère devait apprendre la tradition secrète dans toutes les philosophies et les théologies. En compulsant la liste des livres recommandés à l’étude des frères, il faut remarquer que la théologie était Protestante, bien que les mystiques Catholiques n’étaient pas exclus ;

5° Les Adeptes Mineurs : Nous retournons, avec ce degré, à l’élément pratique. Tous les symboles sont alchimiques en caractère, mais sur un plan plus élevé. Par exemple, la Pierre Philosophale devient triune et elle agit « pour la Divine Transfiguration des Âmes en Christ par l’illumination régénérative du Saint Esprit. » Dans ce degré, les opérations de « l’alchimie spirituelle » doivent être faites ;

6° Les Adeptes Majeurs était un degré ayant comme but le travail psychologique. L’hypnose, l’état hypnagogique et les transes conscientes et inconscientes leur étaient connues, ainsi que la technique occulte. L’enseignement et les expériences étaient réservés au

développement du subconscient, aux récognitions des plans supérieurs et aux méthodes pour les atteindre ;

7° Les Adeptes Supérieurs ne s’occupaient plus de l’enseignement sur le plan terrestre. Leur travail était la mystique de l’extase. Ils étaient en contact constant avec les Maîtres sur les plans supérieurs. Le rituel de ce degré est nettement Chrétien ;

8° Les Maîtres : Le travail de ce degré était appelé « Le Travail de la Pierre Philosophale ». II est associé avec la Croix d’Or, et plus encore avec les Mystères de la Lumière, ou la Magie Céleste, associée avec l’Étoile et les étoiles. Ils laissaient derrière eux l’astrologie exotérique ou ordinaire qui appartenait surtout au grade des Adeptes Mineurs, et ils s’occupaient de l’astrologie ésotérique et occulte. Les Maîtres Rose+Croix considéraient : 1° la religion ; 2° la philosophie ; 3° l’alchimie ou la science ; 4° les arts ; et 5° la vie, comme une Étoile à Cinq Pointes comparable à celle qui brillait au-dessus de l’étable à Bethléem qui conduisit l’Homme au Christ. L’enseignement de ce degré était du Cabbalisme Chrétien ;

9° Le Mage : Dans le sens mystique, les Mages Rose+Croix (titre à la fois administratif et initiatique) étaient des « prêtres selon l’ordre de Melchizedek », c’est-à-dire une hiérarchie spirituelle, qui servait le Temple Invisible, la Maison du Saint Esprit et de la Rose+Croix. Cette « Maison » est comparable au « Sanctuaire » d’Eckartshausen, à I’« Église Intérieure » de Lupukhin, au « Temple Mystique » des Philadelphes et même au Temple du Saint Graal. Selon la tradition, les Mages de la Rose+Croix ne touchaient pas d’autre nourriture que le Pain Bénit et le Vin Sacramentel de ce Temple Invisible.

Très rapidement, et avec une parfaite impartialité, nous avons traité en quelques mots les différentes formes extérieures de la mysticité qui se présentaient dans les lignes Hermétique, Maçonnique et Rose+Croix. Il en ressort que le premier est de caractère mental, le deuxième est corporatif et le troisième est d’ordre spirituel. Une analyse de leurs symbolismes nous révélera ces mêmes caractéristiques rendues vivantes par l’étrange langage des symboles, mais le sujet est trop vaste pour permettre un traitement détaillé dans les pages d’une revue. Dans la deuxième partie de cet article, nous allons parler du symbolisme de la Croix et la Rose, et de la Rose sur la Croix.

(À suivre.)

Les principes Mystiques de l’Hermétisme et de la Rose-Croix, par Francis ROLT-WHEELER (Docteur en Philosophie), in « L’Astrosophie », pages 105-111, volume XV, n° 3, septembre 1936.

Attributed to Henri Lerambert / Public domain

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